Ces 35 frondeurs qui appartiennent aussi bien à l'opposition qu'au parti au pouvoir se considèrent toujours comme légitimes et ce, alors que le Sénat a finalement été supprimé à la faveur d'un référendum constitutionnel, en août dernier. Joint par RFI, Cheikh Sidi Hanena, sénateur frondeur de l'UPR, parti présidentiel, et président de ce Sénat fantoche revient sur ce bras de fer avec le pouvoir.
Sur les trente-cinq sénateurs qui avaient voté contre le projet de réforme constitutionnelle, comme Cheikh sidi Hanena, douze sont toujours sous contrôle judiciaire et un treizième est en prison, depuis trois mois.
Rfi
Sur les trente-cinq sénateurs qui avaient voté contre le projet de réforme constitutionnelle, comme Cheikh sidi Hanena, douze sont toujours sous contrôle judiciaire et un treizième est en prison, depuis trois mois.
Rfi
Autres articles
-
Haïti convoque l'ambassadeur de France après les propos «inacceptables» d'Emmanuel Macron
-
Mali: le général de division Abdoulaye Maïga nommé Premier ministre de transition
-
Syrie: 68 morts dans les frappes israéliennes contre des groupes pro-iraniens à Palmyre (nouveau bilan)
-
États-Unis: Elon Musk détaille son «projet» de réforme de l'État dans le «Wall Street Journal»
-
Egypte: une loi sur les réfugiés adoptée par le Parlement