Abdoulaye wade s'inscrit dans une dynamique de succès. Devant la presse jeudi soir, il s'est longuement félicité des contacts positifs qu'il a eu avec les différents protagonistes de la crise. Il a confié qu'il souhaitait intialement réunir tous les acteurs autour d'une même table avant la fin de la journée, mais la tâche reviendra finalement au ministre des affaires étrangères Cheikh Tidiane Gadio et à Ali Trikki, l'émissaire de Mouamar Kadhafi. Tous deux restent dans la capitale mauritanienne pour organiser des retrouvailles qui s'annoncent bien difficiles.
Pour Abdoulaye Wade la médiation ne fait que commencer, mais pour certains observateurs, elle a d'ores et déjà échoué, quelles que soient les apparences.
La journée d'hier a été marquée par le refus du général Abdelaziz de déplacer le scrutin, alors que le report est précisément le préalable exigé par ses opposants. Abdoulaye Wade s'est porté garant pour lui et a promis de le convaincre, si la date de l'élection était un vrai point de blocage. Mais le président sénégalais a prévenu : ce sont les transitions courtes qui sont les meilleures, et l'hivernage qui approche nous empêche de repousser le scrutin trop loin. Des propos qui sonnent comme un soutien indirect à l'agenda du général Abdelaziz.
Source: RFI
Pour Abdoulaye Wade la médiation ne fait que commencer, mais pour certains observateurs, elle a d'ores et déjà échoué, quelles que soient les apparences.
La journée d'hier a été marquée par le refus du général Abdelaziz de déplacer le scrutin, alors que le report est précisément le préalable exigé par ses opposants. Abdoulaye Wade s'est porté garant pour lui et a promis de le convaincre, si la date de l'élection était un vrai point de blocage. Mais le président sénégalais a prévenu : ce sont les transitions courtes qui sont les meilleures, et l'hivernage qui approche nous empêche de repousser le scrutin trop loin. Des propos qui sonnent comme un soutien indirect à l'agenda du général Abdelaziz.
Source: RFI