Durant les trois semaines que va durer cette première session de formation, les officiers vont devoir réaliser un exercice opérationnel, en conditions réelles. Pour le général Brahim Vall, le directeur du collège de défense, c’est une nécessité.
« Ces deux dernières années, on a senti que les différents officiers qui viennent au PC sont des gens qui ont fait de la planification opérationnelle depuis quelques années dans les écoles et qui ont besoin qu’on leur rafraîchisse la mémoire. »
A l’Union européenne, le principal bailleur du G5 Sahel, on estime que la coordination des troupes est le plus important. « Les officiers ont différentes formations, dans différents pays et ici, il faut trouver des procédures communes pour lesquels ils peuvent travailler ensemble », explique Joachim Santana, le conseiller régional défense de l’institution.
Lors de cette formation, les officiers vont également se mettre à jour sur le droit international. « Dans un contexte asymétrique comme au Sahel, on a pour les officiers beaucoup de difficultés de distinguer les civils des combattants », souligne Baptiste Martin, du Haut-commissariat au droit de l’homme pour le G5.
« Un autre défi c’est pour toutes les sources de renseignement qui peuvent être au sein de la population civile de ne pas exposer les sources. Beaucoup de personnes ont été tuées dans certains pays du G5 Sahel pour avoir fourni des informations aux forces de défense et de sécurité. »
Au terme de ces trois semaines, les officiers prendront leurs quartiers pour affronter directement la menace terroriste.
« Ces deux dernières années, on a senti que les différents officiers qui viennent au PC sont des gens qui ont fait de la planification opérationnelle depuis quelques années dans les écoles et qui ont besoin qu’on leur rafraîchisse la mémoire. »
A l’Union européenne, le principal bailleur du G5 Sahel, on estime que la coordination des troupes est le plus important. « Les officiers ont différentes formations, dans différents pays et ici, il faut trouver des procédures communes pour lesquels ils peuvent travailler ensemble », explique Joachim Santana, le conseiller régional défense de l’institution.
Lors de cette formation, les officiers vont également se mettre à jour sur le droit international. « Dans un contexte asymétrique comme au Sahel, on a pour les officiers beaucoup de difficultés de distinguer les civils des combattants », souligne Baptiste Martin, du Haut-commissariat au droit de l’homme pour le G5.
« Un autre défi c’est pour toutes les sources de renseignement qui peuvent être au sein de la population civile de ne pas exposer les sources. Beaucoup de personnes ont été tuées dans certains pays du G5 Sahel pour avoir fourni des informations aux forces de défense et de sécurité. »
Au terme de ces trois semaines, les officiers prendront leurs quartiers pour affronter directement la menace terroriste.