Les députés de la majorité ont salué sous les applaudissements, lundi après-midi, la victoire du nouveau président de l’Assemblée nationale, annoncée par le doyen d’âge et président de séance.
« Je vous remercie pour la confiance que vous m’avez accordée en me portant à la tête de notre auguste institution, espérant que l’on puisse tous coopérer pour relever ses performances en tant qu’institution de très haute importance dans la vie de toute nation démocratique, a lancé Cheikh ould Baya à l’Assemblée. D’autant plus depuis que cette institution est devenue, au terme des derniers amendements constitutionnels, celle qui s’occupe exclusivement de l’action parlementaire ».
Mais, selon la Constitution, cette session parlementaire aurait dû s’ouvrir le 1er octobre dernier. Ce retard est une violation de la loi, estime Kadiata Diallo, députée de l’Union des forces de progrès, parti d’opposition. « Il faut le 1er octobre que la session parlementaire s’ouvre. Or, ouvrir la session, c’est poser l’acte d’ouverture comme ce qui a été fait aujourd’hui. On a bloqué l’institution pendant une semaine pour attendre que quelqu’un, un député, soit là pour être élu président de l’Assemblée. C’est cela qui est regrettable pour la Mauritanie », a déploré Kadiata Diallo.
Cheikh ould Baya, qui vient d’être désigné comme nouveau président de l’Assemblée nationale, était absent car il se faisait soigner en France, après un accident de la circulation.
« Je vous remercie pour la confiance que vous m’avez accordée en me portant à la tête de notre auguste institution, espérant que l’on puisse tous coopérer pour relever ses performances en tant qu’institution de très haute importance dans la vie de toute nation démocratique, a lancé Cheikh ould Baya à l’Assemblée. D’autant plus depuis que cette institution est devenue, au terme des derniers amendements constitutionnels, celle qui s’occupe exclusivement de l’action parlementaire ».
Mais, selon la Constitution, cette session parlementaire aurait dû s’ouvrir le 1er octobre dernier. Ce retard est une violation de la loi, estime Kadiata Diallo, députée de l’Union des forces de progrès, parti d’opposition. « Il faut le 1er octobre que la session parlementaire s’ouvre. Or, ouvrir la session, c’est poser l’acte d’ouverture comme ce qui a été fait aujourd’hui. On a bloqué l’institution pendant une semaine pour attendre que quelqu’un, un député, soit là pour être élu président de l’Assemblée. C’est cela qui est regrettable pour la Mauritanie », a déploré Kadiata Diallo.
Cheikh ould Baya, qui vient d’être désigné comme nouveau président de l’Assemblée nationale, était absent car il se faisait soigner en France, après un accident de la circulation.
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