Arborant de brassards rouges, les habitants de Gourel Bary de la commune de Tambacounda réclament de meilleures conditions de vie. Ils ont fait face à la presse samedi pour déplorer le mande d’eau, d’électricité, de poste de santé dans leur quartier pour pouvoir se soigner.
« Nous vivons d’énormes difficultés. Notre quartier n’est pas électrifié. Nous manquons d’éclairage public et nous sommes plongés dans une insécurité totale. Les femmes sont fatiguées. Il n’y a pas d’eau dans ce quartier. En ce moment où je vous parle, les puits sont taris », a déclaré Moussa Konté leur porte-parole.
Mieux poursuit M. Konté au micro de Iradio : « À chaque fois, il y a des cas de vol, de viol, d’agression qui se signalent ici. On a été à la mairie, on a été à la préfecture, mais jusqu’à présent rien n’a été fait ».
Dans ces quartiers périphériques de la commune de Tambacounda, quand une femme veut accoucher, c’est la croix et la bannière. Accompagné de leur chef de village, les populations de Gourel Bary interpellent les autorités compétentes.
« Nous vivons d’énormes difficultés. Notre quartier n’est pas électrifié. Nous manquons d’éclairage public et nous sommes plongés dans une insécurité totale. Les femmes sont fatiguées. Il n’y a pas d’eau dans ce quartier. En ce moment où je vous parle, les puits sont taris », a déclaré Moussa Konté leur porte-parole.
Mieux poursuit M. Konté au micro de Iradio : « À chaque fois, il y a des cas de vol, de viol, d’agression qui se signalent ici. On a été à la mairie, on a été à la préfecture, mais jusqu’à présent rien n’a été fait ».
Dans ces quartiers périphériques de la commune de Tambacounda, quand une femme veut accoucher, c’est la croix et la bannière. Accompagné de leur chef de village, les populations de Gourel Bary interpellent les autorités compétentes.