Le leader de Pastef Ousmane Sonko à clôturé sa deuxième journée de campagne électorale en vue des législatives, ce mardi à Mbour. A l’entame de son propos, Sonko a livré un cours gratuit sur les bases de la politique, selon sa vision. « La politique est un exercice de service de sa nation de sa patrie et un don de soi-même. Un exercice de don de soi et en s’oubliant au profit de l’intérêt général. La politique, c’est quand les autres se reposent ou qu’ils s’occupent de leur intérêt, toi, tu te lèves pour faire bouger les choses, tu mets le pays au-devant toutes choses », a déclaré Sonko, avant de poursuivre : « Mais est-ce que vous avez constaté cela chez l’opposition ? »
Leader de Pastef en a profité pour narguer l’opposition. « Quand je les regarde, j’ai pitié de cette opposition. Parce que voilà des hommes et des femmes qui n’ont pas compris que se vent du changement est arrivé et a été largement et particulièrement apporté par cette jeunesse que vous êtes. Ça ne me surprend pas que depuis le début de la campagne, ils ne sont toujours pas sortis de Dakar, ils sont là-bas en train de tenir des conférences de presse parce que certainement, ils ont peur d'affronter les populations. C’est pourquoi, moi, je ne me fais aucun souci, sur ce qui se passera le 17 novembre. La question se trouve au tour du nombre et concernant cela, je n’ai aucun doute. Ils le savent très bien, c’est pourquoi, ils sont toujours en colère, en train de crier dans tous leur discours « Ousmane Sonko, Ousmane Sonko… », toute leur campagne, c’est Ousmane Sonko », a-t-il lancé ironiquement.
« Mais, s’il plaît à Dieu et avec votre soutien, ils peuvent crier mon nom du matin au soir cela ne fera que m’élever, mais ils ne peuvent pas me dénigrer. Et cette mobilisation ici à Mbour en est une preuve. Nous sommes les seules à pouvoir battre campagne jusqu’à certaines heures, sans financer les gens ni leur remettre de T-shirts, mais ils t’attendent quand même », a déclaré fièrement le leader et tête de liste de Pastef.
Leader de Pastef en a profité pour narguer l’opposition. « Quand je les regarde, j’ai pitié de cette opposition. Parce que voilà des hommes et des femmes qui n’ont pas compris que se vent du changement est arrivé et a été largement et particulièrement apporté par cette jeunesse que vous êtes. Ça ne me surprend pas que depuis le début de la campagne, ils ne sont toujours pas sortis de Dakar, ils sont là-bas en train de tenir des conférences de presse parce que certainement, ils ont peur d'affronter les populations. C’est pourquoi, moi, je ne me fais aucun souci, sur ce qui se passera le 17 novembre. La question se trouve au tour du nombre et concernant cela, je n’ai aucun doute. Ils le savent très bien, c’est pourquoi, ils sont toujours en colère, en train de crier dans tous leur discours « Ousmane Sonko, Ousmane Sonko… », toute leur campagne, c’est Ousmane Sonko », a-t-il lancé ironiquement.
« Mais, s’il plaît à Dieu et avec votre soutien, ils peuvent crier mon nom du matin au soir cela ne fera que m’élever, mais ils ne peuvent pas me dénigrer. Et cette mobilisation ici à Mbour en est une preuve. Nous sommes les seules à pouvoir battre campagne jusqu’à certaines heures, sans financer les gens ni leur remettre de T-shirts, mais ils t’attendent quand même », a déclaré fièrement le leader et tête de liste de Pastef.
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