Plus d’une vingtaine de jeunes du quartier Téfess, à Mbour (petite côte), sont portés disparus depuis près de trois semaines alors qu’ils tentaient de rejoindre l’Espagne par voie maritime. Ces jeunes, pour la plupart des pêcheurs, avaient embarqué clandestinement avec l’espoir d’une vie meilleure en Europe.
Ndiallo Guèye, sœur de l’un des disparus, a exprimé sa vive inquiétude. « Cela fait aujourd’hui 19 jours que nous n’avons aucune nouvelle de nos enfants. Ce sont des pêcheurs pour la plupart, qui partaient en Espagne. Mais depuis lors, nous n’avons plus de leurs nouvelles. » La disparition de ces jeunes hommes plonge les familles dans une angoisse insoutenable, informe APS.
Oumar Ciss, père de famille dont les enfants se trouvaient dans l’embarcation, a affirmé qu’ils ne savent plus à quel Saint se vouer. Le quartier de Téfess, situé dans la capitale de la Petite Côte, vit désormais au rythme de l’incertitude et de la peur.
À en croire Bilo Diop, mère de famille, son fils et ses cinq petits-fils figurent parmi les disparus. Entre tristesse et désespoir, elle raconte : « Nous sommes tristes et inquiets (…) Cela fait plusieurs jours que nous ne sentons plus le goût des aliments pour ceux qui arrivent à en avaler encore. »
Selon cette dernière, les familles n’étaient pas informées du projet d’émigration de ces jeunes pêcheurs. « Ce n’est que quelques jours après leur départ qu’ils ont appelé, et depuis lors, nous n’avons plus de leurs nouvelles », confie-t-elle, la voix tremblante. Face à cette situation, elle lance un appel à l’aide aux autorités étatiques, espérant obtenir des informations sur le sort des jeunes disparus.
Attirés par le mirage d’un avenir meilleur en Europe, les jeunes risquent leur vie sur des embarcations de fortune, souvent sans informer leurs proches de leurs projets. Les familles, désemparées, se retrouvent alors dans une attente douloureuse, sans nouvelles de leurs enfants, avec l’espoir qu’ils soient retrouvés sains et saufs.
Ndiallo Guèye, sœur de l’un des disparus, a exprimé sa vive inquiétude. « Cela fait aujourd’hui 19 jours que nous n’avons aucune nouvelle de nos enfants. Ce sont des pêcheurs pour la plupart, qui partaient en Espagne. Mais depuis lors, nous n’avons plus de leurs nouvelles. » La disparition de ces jeunes hommes plonge les familles dans une angoisse insoutenable, informe APS.
Oumar Ciss, père de famille dont les enfants se trouvaient dans l’embarcation, a affirmé qu’ils ne savent plus à quel Saint se vouer. Le quartier de Téfess, situé dans la capitale de la Petite Côte, vit désormais au rythme de l’incertitude et de la peur.
À en croire Bilo Diop, mère de famille, son fils et ses cinq petits-fils figurent parmi les disparus. Entre tristesse et désespoir, elle raconte : « Nous sommes tristes et inquiets (…) Cela fait plusieurs jours que nous ne sentons plus le goût des aliments pour ceux qui arrivent à en avaler encore. »
Selon cette dernière, les familles n’étaient pas informées du projet d’émigration de ces jeunes pêcheurs. « Ce n’est que quelques jours après leur départ qu’ils ont appelé, et depuis lors, nous n’avons plus de leurs nouvelles », confie-t-elle, la voix tremblante. Face à cette situation, elle lance un appel à l’aide aux autorités étatiques, espérant obtenir des informations sur le sort des jeunes disparus.
Attirés par le mirage d’un avenir meilleur en Europe, les jeunes risquent leur vie sur des embarcations de fortune, souvent sans informer leurs proches de leurs projets. Les familles, désemparées, se retrouvent alors dans une attente douloureuse, sans nouvelles de leurs enfants, avec l’espoir qu’ils soient retrouvés sains et saufs.
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