Le fait que Khalifa Sall et Karim Wade ne soient pas autorisés, du moins pour le moment, de participer à la prochaine élection présidentielle n’a rien de surprenant si l’on en croit Me Mame Adama Gueye. Ce dernier qui est intervenu sur la Rfm soutient d’ailleurs que cette décision avait déjà été prise, et qu’il avait essayé de réveiller la conscience des Sénégalais en prévenant sur les agissements dans l’ombre, des tenants du pouvoir.
«Aucune surprise, je l’avais déjà annoncé. C’était une élimination programmée. Tout a été programmé pour éliminer Khalifa Sall et Karim Wade. Donc ce n’est absolument pas une surprise pour moi. Cette affaire est une affaire politique, les juridictions ont été instrumentalisée au service d’un projet politique, au service d’intérêts politiques du candidat sortant», a-t-il martelé.
Mais, rappelle le coordonnateur de la Plateforme opérationnelle pour la sécurisation des élections (Pose), il y a plus grave que cela : «aucune décision du Conseil Constitutionnel n’est fondée sur la vérification des signatures. Tout a été fondé sur l’analyse des supports électroniques».
L’ancien bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal d’expliquer que les 7 Sages ne se sont pas conformés à la Constitution, laquelle stipule clairement que leur contrôle «doit porter sur les signatures».
«Aucune surprise, je l’avais déjà annoncé. C’était une élimination programmée. Tout a été programmé pour éliminer Khalifa Sall et Karim Wade. Donc ce n’est absolument pas une surprise pour moi. Cette affaire est une affaire politique, les juridictions ont été instrumentalisée au service d’un projet politique, au service d’intérêts politiques du candidat sortant», a-t-il martelé.
Mais, rappelle le coordonnateur de la Plateforme opérationnelle pour la sécurisation des élections (Pose), il y a plus grave que cela : «aucune décision du Conseil Constitutionnel n’est fondée sur la vérification des signatures. Tout a été fondé sur l’analyse des supports électroniques».
L’ancien bâtonnier de l’Ordre des avocats du Sénégal d’expliquer que les 7 Sages ne se sont pas conformés à la Constitution, laquelle stipule clairement que leur contrôle «doit porter sur les signatures».