« Il n’y a pas encore de signaux très forts de la part du président Macky Sall », regrette Me Aissata Tall Sall, même si elle reconnait que « nous sortons de dix ans de difficultés avec le régime précédent » et que « le pays est engagé dans une œuvre de redressement national ». Estimant que « notre économie est à l’arrêt », la porte-parole socialiste qui plaide pour « une véritable vision politique, un engagement fort et une action dans le long terme pour booster l’économie du pays », interpelle le gouvernement « à poser des actes très forts » et les populations « à faire preuve de patience ».
Evoquer la question de l’écoulement de l’oignon et de la tomate de la vallée a été l’occasion pour la responsable de Benno Bokk Yaakaar (BBY) de fustiger que « les dispositions nécessaires n’ont pas été prises par le gouvernement pour aider ces paysans ». Ce qui lui permet de trancher : « c’est regrettable, mais le régime de Wade avait fait mieux. Nous n’avons pas été élus pour faire moins que Wade ».
Evoquer la question de l’écoulement de l’oignon et de la tomate de la vallée a été l’occasion pour la responsable de Benno Bokk Yaakaar (BBY) de fustiger que « les dispositions nécessaires n’ont pas été prises par le gouvernement pour aider ces paysans ». Ce qui lui permet de trancher : « c’est regrettable, mais le régime de Wade avait fait mieux. Nous n’avons pas été élus pour faire moins que Wade ».
Autres articles
-
Sénégal : Les prix à la consommation augmentent de 1 % au troisième trimestre 2024, selon l’ANSD
-
10e Revue Annuelle des Réformes de l'UEMOA : le Sénégal évalue ses progrès dans l'intégration régionale
-
Sénégal : le rapport 2024 de la CNUCED met en lumière les défis de la dette, la dépendance aux matières premières ...
-
Coût de la vie et surplus pétrolier : la Banque mondiale dévoile ses prévisions jusqu'en 2026
-
Sécheresse : les femmes produisent 80 % de l’alimentation dans les pays en développement mais possèdent moins de 20 % des terres (ONU)