L’avocat du patron de Jean Lefebvre n’a pas tourné en rond pour rectifier le défenseur de l’Etat qui faisait partie de ceux qui ont déclaré que la décision de relaxe pure et simple de Bara Tall sur les poursuites d’escroquerie et de surfacturation sur la somme de 8 milliards de FCFA, était une décision d’apaisement.
«(…) J’ai même entendu un des avocats de l’Etat le dire (NDLIR : Me Ousmane Sèye)», a campé Me Aly Fall avocat avant recadrer que «ce n’est pas le cas. «Ce qui est établi et évident, c’est que depuis le début, M. Bara Tall l’a dit et je l’ai accompagné en cela, qu’à aucun moment donné il n’y a eu d’infraction commise, en tout cas pour ce qui le concerne dans les chantiers de Thiès», a tenu à rectifier l’avocat à l'émission Grand Jury de la Rfm (privée) .
Selon lui, ce que le juge a dit est la stricte vérité parce qu’il n’y a aucune preuve étayant la moindre infraction. «Ce n’est pas une décision d’apaisement. C’est juste que pour une fois, la vérité judiciaire correspond à la vérité tout court», fait-il remarquer.
Sur le plan juridique Me Fall soutient que la suite à donner à cette affaire ne peut, pour le moment être connue.
«Juridiquement one ne peut pas savoir parce qu’on n’a pas encore la suite de la transaction». Selon lui, la 1ère question qui interpelle tout le monde, c’est le montant particulièrement important qui a été engagé. «Je pense que le président de la république a des montants officiels déclarés ; il serait donc une bonne chose qu’il nous justifie l’origine cette somme engagée dans l’achat de cet immeuble relayé par le journal», a-t-il prié.
«(…) J’ai même entendu un des avocats de l’Etat le dire (NDLIR : Me Ousmane Sèye)», a campé Me Aly Fall avocat avant recadrer que «ce n’est pas le cas. «Ce qui est établi et évident, c’est que depuis le début, M. Bara Tall l’a dit et je l’ai accompagné en cela, qu’à aucun moment donné il n’y a eu d’infraction commise, en tout cas pour ce qui le concerne dans les chantiers de Thiès», a tenu à rectifier l’avocat à l'émission Grand Jury de la Rfm (privée) .
Selon lui, ce que le juge a dit est la stricte vérité parce qu’il n’y a aucune preuve étayant la moindre infraction. «Ce n’est pas une décision d’apaisement. C’est juste que pour une fois, la vérité judiciaire correspond à la vérité tout court», fait-il remarquer.
Sur le plan juridique Me Fall soutient que la suite à donner à cette affaire ne peut, pour le moment être connue.
«Juridiquement one ne peut pas savoir parce qu’on n’a pas encore la suite de la transaction». Selon lui, la 1ère question qui interpelle tout le monde, c’est le montant particulièrement important qui a été engagé. «Je pense que le président de la république a des montants officiels déclarés ; il serait donc une bonne chose qu’il nous justifie l’origine cette somme engagée dans l’achat de cet immeuble relayé par le journal», a-t-il prié.