«Nous mettons en garde Macky Sall et Moustapha Niasse et les tiendrons personnellement et ensemble responsables de tout ce qui pourrait advenir de leurs manœuvres hasardeuses de nature à troubler notre démocratie et la nécessité de vivre dans un climat apaisé». Ces propos sont de Me El Hadj Amadou Sall qui lisait la résolution issue de leur rencontre.
Et Me Sall de poursuivre : «Le comité directeur condamne également, avec la dernière énergie, toutes les manœuvres du pouvoir qui a déclaré la guerre à notre parti et qui fait tout pour empêcher le jeu normal de la démocratie en tentant de récupérer le groupe parlementaire de l’opposition à l’assemblée nationale en le sabordant de l’intérieur. Le moment est venu de donner à ce combat une nouvelle dimension pour la reconnaissance des droits de l’opposition que l’on tente de museler, malgré les discours de circonstance sur la modernisation de notre démocratie».
Pour prendre les devants, les libéraux ont tenu à mettre les points sur les «i », en soutenant qu’il n’était pas question que leur parti laisse passer ce qu’ils considèrent comme une forfaiture sans rien faire : «Le parti démocratique sénégalais ne saurait accepter les tentatives et manœuvres éhontées pour imposer quelqu’un qui a démissionné en lieu et place du frère Mamadou Lamine Keita qui doit remplacer Ousmane Nom député démissionnaire», a-t-il fait savoir.
Les partisans de l’ancien chef de l’Etat n’ont pas oublié leur porte étendard pour la prochaine élection présidentielle : «Enfin le comité directeur exprime son soutien au frère Karim Wade, détenu et maintenu en otage voilà trois années alors que les sénégalais et les sénégalaises savent aujourd’hui que c’est une justice aux ordres, bras armé d’un pouvoir revanchard, qui l’a arbitrairement privé de liberté», d’où l’exigence de «sa libération immédiate».
Et Me Sall de poursuivre : «Le comité directeur condamne également, avec la dernière énergie, toutes les manœuvres du pouvoir qui a déclaré la guerre à notre parti et qui fait tout pour empêcher le jeu normal de la démocratie en tentant de récupérer le groupe parlementaire de l’opposition à l’assemblée nationale en le sabordant de l’intérieur. Le moment est venu de donner à ce combat une nouvelle dimension pour la reconnaissance des droits de l’opposition que l’on tente de museler, malgré les discours de circonstance sur la modernisation de notre démocratie».
Pour prendre les devants, les libéraux ont tenu à mettre les points sur les «i », en soutenant qu’il n’était pas question que leur parti laisse passer ce qu’ils considèrent comme une forfaiture sans rien faire : «Le parti démocratique sénégalais ne saurait accepter les tentatives et manœuvres éhontées pour imposer quelqu’un qui a démissionné en lieu et place du frère Mamadou Lamine Keita qui doit remplacer Ousmane Nom député démissionnaire», a-t-il fait savoir.
Les partisans de l’ancien chef de l’Etat n’ont pas oublié leur porte étendard pour la prochaine élection présidentielle : «Enfin le comité directeur exprime son soutien au frère Karim Wade, détenu et maintenu en otage voilà trois années alors que les sénégalais et les sénégalaises savent aujourd’hui que c’est une justice aux ordres, bras armé d’un pouvoir revanchard, qui l’a arbitrairement privé de liberté», d’où l’exigence de «sa libération immédiate».