L’avocat au Barreau de Dakar, Me Assane Dioma Ndiaye relevé des difficultés sur la réactualisation de la législation en matière de terrorisme. En effet, la robe noire a fait s’avoir qu’ « au Sénégal, nous n’avons pas encore des actes intrinsèques de terrorisme comme la séquestration des personnes ou les bombardements ».
D’après lui, «tous ceux qui sont poursuivis le sont pour apologie d’actes assimilés au terrorisme ». Sur ces entrefaites, il pense que le code pénal devrait définir de manière beaucoup plus claire le terme : apologie.
Assane Dioma Ndiaye n’est pas d’accord avec le fait que la garde à vue peut aller jusqu’à 12 jours en matière de terrorismes. «Une personne qui est en garde à vue, est une personne qui devient vulnérable. Il y a des risques dans le cadre de cette garde à vue. On peut même parler de torture morale dans ce cadre. Cela constitue une atteinte aux droits fondamentaux de la personne humaine », a soutenu la robe noire, livre "Libération".
D’après lui, «tous ceux qui sont poursuivis le sont pour apologie d’actes assimilés au terrorisme ». Sur ces entrefaites, il pense que le code pénal devrait définir de manière beaucoup plus claire le terme : apologie.
Assane Dioma Ndiaye n’est pas d’accord avec le fait que la garde à vue peut aller jusqu’à 12 jours en matière de terrorismes. «Une personne qui est en garde à vue, est une personne qui devient vulnérable. Il y a des risques dans le cadre de cette garde à vue. On peut même parler de torture morale dans ce cadre. Cela constitue une atteinte aux droits fondamentaux de la personne humaine », a soutenu la robe noire, livre "Libération".