Ceci étant dit, l’avocat de professionnel marque sa désapprobation vis-à-vis de la proposition de M. Raouraoua. «Ce serait un recul par rapport aux règles démocratiques et des règles antérieures qui régissaient la Caf. Si une telle proposition venait à être adoptée par les membres du comité directeur, cela signifierait qu’on ne crée des postes que pour eux», soutient Me Augustin Senghor.
Puis, il hausse le ton : «je ne vois pas pourquoi, on priverait un président d’une Fédération ou d’une association nationale le droit de postuler à un poste de responsabilité dans des instances africaines ou internationales».
Mieux, ajoute Me Senghor, «le fait de changer les règles à quelques mois d’une élection pose un problème. On ne peut pas se permettre de toucher à des dispositions fondamentales qui régissent la Caf. C’est pourquoi, personnellement, je ne pense qu’une telle proposition soit approuvée par le président Hayatou».
Toutefois, si Me Senghor récuse la position de Mohamed Raouraoua, il ne voit pas d’inconvénient sur la proposition du président de la Caf, qui voudrait désormais que tout «candidat aux élections à la présidence de la Caf, ait le parrainage de la Fédération de son pays d’origine».
«Le système de parrainage ne me gêne pas. D’autant plus que dans les associations nationales, on est obligé d’être proposé par son club ou par son association pour briguer un poste dans l’instance fédérale», fait remarquer le président de la FSF.
«Par conséquent, conclut-il, je pense que celui qui veut être président doit au préalable avoir été accepté par sa Fédération».
Sidy Diallo (FIF) refuse de se prononcer
Nos confrères de l’Intelligent d’Abidjan disent avoir joint le président Sidy Diallo depuis Moscou en Russie où il se trouvait depuis le lundi 13 août pour les besoins du match amical Russie-Côte d’Ivoire (1-1). Néanmoins, il a pu donner son avis sur les différentes modifications en cours, au téléphone.
Très bref, relève-t-on dans l’article de l’IA, Sidy Diallo, président de la Fédération ivoirienne de football, dira que son objectif, c’est la qualification des Eléphants pour la Can 2013. «Ce qui me préoccupe en ce moment, c’est la qualification pour la Can 2013. L’élection à la présidence de la Caf, c’est en 2013. Que les gens racontent ce qu’ils veulent», a-t-il fait savoir.
Rappelons que les candidatures seront closes fin Novembre, soit quatre mois avant l’élection de Mars 2013.
L’Afrique du Sud dit niet…
Selon nos confrères de l’Intelligent d’Abidjan, les dirigeants du football sud-africain rejettent avec la dernière énergie la proposition faite par l’Algérie. Parce que Danny Jordan, probable candidat de la nation Arc-en-ciel à l’élection à la présidence de la Caf en 2013, n’est pas membre du Comité exécutif. Très influent dans le monde du football, Danny Jordan ferait donc les frais de cette proposition algérienne, visiblement taillée sur mesure à son encontre, commente le journal.
«C’est anti-démocratique la proposition algérienne. Ce ne sont pas les proches d’Issa Hayatou qui doivent décider de l’avenir du football sur le continent. Il y a de grands dirigeants sur le continent qui ne sont pas au Comité exécutif de la Caf. Ils peuvent diriger la Confédération un jour sans être obligé d’entrer au Comité exécutif. L’AG est souveraine et on doit se montrer uni pour contrer Issa Hayatou et ses amis», confiera un président de fédération de la sous région, joint hier au téléphone.
Le parrainage du candidat par sa fédération d’origine, selon des proches d’Issa Hayatou viserait l’Ivoirien Jacques Bernard Anouma. Pourquoi ? Dans l’establishment Hayatou, l’on fait savoir que c’est la seule option qui lui reste pour faire barrage à la candidature de Jacques Bernard Anouma pourtant adoubé par le Président Alassane Ouattara et le gouvernement ivoirien. Est-ce à dire que la Fédération ivoirienne de football serait avec le camp d’Issa Hayatou et par conséquent refuserait de parrainer la candidature de Jacques Anouma ?, s’est interrogé nos confrères.
Source : Sudonline
Puis, il hausse le ton : «je ne vois pas pourquoi, on priverait un président d’une Fédération ou d’une association nationale le droit de postuler à un poste de responsabilité dans des instances africaines ou internationales».
Mieux, ajoute Me Senghor, «le fait de changer les règles à quelques mois d’une élection pose un problème. On ne peut pas se permettre de toucher à des dispositions fondamentales qui régissent la Caf. C’est pourquoi, personnellement, je ne pense qu’une telle proposition soit approuvée par le président Hayatou».
Toutefois, si Me Senghor récuse la position de Mohamed Raouraoua, il ne voit pas d’inconvénient sur la proposition du président de la Caf, qui voudrait désormais que tout «candidat aux élections à la présidence de la Caf, ait le parrainage de la Fédération de son pays d’origine».
«Le système de parrainage ne me gêne pas. D’autant plus que dans les associations nationales, on est obligé d’être proposé par son club ou par son association pour briguer un poste dans l’instance fédérale», fait remarquer le président de la FSF.
«Par conséquent, conclut-il, je pense que celui qui veut être président doit au préalable avoir été accepté par sa Fédération».
Sidy Diallo (FIF) refuse de se prononcer
Nos confrères de l’Intelligent d’Abidjan disent avoir joint le président Sidy Diallo depuis Moscou en Russie où il se trouvait depuis le lundi 13 août pour les besoins du match amical Russie-Côte d’Ivoire (1-1). Néanmoins, il a pu donner son avis sur les différentes modifications en cours, au téléphone.
Très bref, relève-t-on dans l’article de l’IA, Sidy Diallo, président de la Fédération ivoirienne de football, dira que son objectif, c’est la qualification des Eléphants pour la Can 2013. «Ce qui me préoccupe en ce moment, c’est la qualification pour la Can 2013. L’élection à la présidence de la Caf, c’est en 2013. Que les gens racontent ce qu’ils veulent», a-t-il fait savoir.
Rappelons que les candidatures seront closes fin Novembre, soit quatre mois avant l’élection de Mars 2013.
L’Afrique du Sud dit niet…
Selon nos confrères de l’Intelligent d’Abidjan, les dirigeants du football sud-africain rejettent avec la dernière énergie la proposition faite par l’Algérie. Parce que Danny Jordan, probable candidat de la nation Arc-en-ciel à l’élection à la présidence de la Caf en 2013, n’est pas membre du Comité exécutif. Très influent dans le monde du football, Danny Jordan ferait donc les frais de cette proposition algérienne, visiblement taillée sur mesure à son encontre, commente le journal.
«C’est anti-démocratique la proposition algérienne. Ce ne sont pas les proches d’Issa Hayatou qui doivent décider de l’avenir du football sur le continent. Il y a de grands dirigeants sur le continent qui ne sont pas au Comité exécutif de la Caf. Ils peuvent diriger la Confédération un jour sans être obligé d’entrer au Comité exécutif. L’AG est souveraine et on doit se montrer uni pour contrer Issa Hayatou et ses amis», confiera un président de fédération de la sous région, joint hier au téléphone.
Le parrainage du candidat par sa fédération d’origine, selon des proches d’Issa Hayatou viserait l’Ivoirien Jacques Bernard Anouma. Pourquoi ? Dans l’establishment Hayatou, l’on fait savoir que c’est la seule option qui lui reste pour faire barrage à la candidature de Jacques Bernard Anouma pourtant adoubé par le Président Alassane Ouattara et le gouvernement ivoirien. Est-ce à dire que la Fédération ivoirienne de football serait avec le camp d’Issa Hayatou et par conséquent refuserait de parrainer la candidature de Jacques Anouma ?, s’est interrogé nos confrères.
Source : Sudonline
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