Durant cette rencontre Me Abdoulaye Babou a fait part de son intention de porter cette affaire devant l’Assemblée Nationale la semaine prochaine. Cet engagement de Me Babou est une façon de répondre aux critiques et aux accusations portées contre l’Etat du Sénégal de ne pas vouloir organiser le procès de l’ex Président tchadien Hissène Habré. « J’ai pris l’engagement dés la semaine prochaine de porter cette affaire devant l’Assemblée Nationale ». Il a expliqué qu’il a déjà écrit la lettre qui doit être adressé au ministre de la justice.
Selon Me Babou «le ministre de la justice va se prononcer sur la question pour donner la position officielle du Sénégal à travers la question réponse qui lui sera posée», avant d’ajouter « il et temps que des dispositions soient prises pour mettre fin à tous les débats qui ont lieu autour de cette affaire».
Le député qui se fait l’avocat de l’Etat du Sénégal a invité l’assistance à se rappeler que : « le Sénégal est le seul pays d’Afrique qui avait accepté de se charger du dossier Habré en 2006 ». Il a soutenu que «malgré toutes les critiques des avancées ont été plutôt notées». Pour cette raison il a demandé aux africains d’être patients car le dossier suit son cours.
«Pour tenir un procès il va falloir que les conditions soient réunies pour un procès juste et équitable, et des moyens financiers pour assurer la sécurité et payer les magistrats » a-t-il soutenu.
Selon Me Babou «le ministre de la justice va se prononcer sur la question pour donner la position officielle du Sénégal à travers la question réponse qui lui sera posée», avant d’ajouter « il et temps que des dispositions soient prises pour mettre fin à tous les débats qui ont lieu autour de cette affaire».
Le député qui se fait l’avocat de l’Etat du Sénégal a invité l’assistance à se rappeler que : « le Sénégal est le seul pays d’Afrique qui avait accepté de se charger du dossier Habré en 2006 ». Il a soutenu que «malgré toutes les critiques des avancées ont été plutôt notées». Pour cette raison il a demandé aux africains d’être patients car le dossier suit son cours.
«Pour tenir un procès il va falloir que les conditions soient réunies pour un procès juste et équitable, et des moyens financiers pour assurer la sécurité et payer les magistrats » a-t-il soutenu.