La Cour suprême se penche depuis ce jeudi matin sur l'affaire Khalifa Sall dont la condamnation en première instance, dans le cadre de l’affaire de la Caisse d’avance, a été confirmée en appel. La situation semble compliquée pour le candidat de la Coalition Taxawu Sénégal ak Khalifa Sall qui doit connaitre son sort avant le couché du soleil.
Me Baboucar Cissé, avocat de l'Etat soutient que "Khalifa Sall est coupable et sa culpabilité ne peut pas être discutée, car lui-même n'a jamais contesté les faits. Il a toujours reconnu qu'ils ont fait des faux et il n'y a jamais eu de livraison de riz et de mil. Ce sont des infractions et des délits donc jusqu'à l'extinction du soleil, on ne peut pas enlever ses infractions", insiste-t-il face à la presse.
Revenant sur les raisons du rejet la demande de renvoi du procès, Me Cissé explique. "Les avocats de Khalifa Sall avaient introduit une demande écrite mercredi pour solliciter la jonction de certaines procédures et le renvoi pour les procédures qu'ils estiment qu'elles ne sont pas pour le moment état, rappelle-t-il.
Et de poursuivre: "la Cour suprême a répondu que pour la jonction, le problème ne se pose pas. Et ils n'avaient pas à demander la jonction car la Cour allait le faire. Ils ont sollicité le renvoi, parce qu'ils auraient introduit des pourvois contre des arrêts et la Cour a estimé qu'elle n'est pas saisie de ces pourvois, donc elle ne peut pas renvoyer cette audience pour ce motif", a-t-il clarifié.
Me Baboucar Cissé, avocat de l'Etat soutient que "Khalifa Sall est coupable et sa culpabilité ne peut pas être discutée, car lui-même n'a jamais contesté les faits. Il a toujours reconnu qu'ils ont fait des faux et il n'y a jamais eu de livraison de riz et de mil. Ce sont des infractions et des délits donc jusqu'à l'extinction du soleil, on ne peut pas enlever ses infractions", insiste-t-il face à la presse.
Revenant sur les raisons du rejet la demande de renvoi du procès, Me Cissé explique. "Les avocats de Khalifa Sall avaient introduit une demande écrite mercredi pour solliciter la jonction de certaines procédures et le renvoi pour les procédures qu'ils estiment qu'elles ne sont pas pour le moment état, rappelle-t-il.
Et de poursuivre: "la Cour suprême a répondu que pour la jonction, le problème ne se pose pas. Et ils n'avaient pas à demander la jonction car la Cour allait le faire. Ils ont sollicité le renvoi, parce qu'ils auraient introduit des pourvois contre des arrêts et la Cour a estimé qu'elle n'est pas saisie de ces pourvois, donc elle ne peut pas renvoyer cette audience pour ce motif", a-t-il clarifié.