Me Bamba Cissé à pris part à la conférence conjointe organisée par des ex -détenus politiques dont Pape Abdoulaye Touré, Falla Fleure entre autres. Intervenant en tant que Co- conférencier avec Juan Branco et Me Khoureychi Ba, tous avocats du leader de Pastef Ousmane Sonko, Me Cissé a révélé que les requêtes que le pool d’avocats de l’actuel Premier ministre présentaient aux juges étaient tous corédigeaient par leur client et eux- mêmes, en plus clair, c’est, selon ses propos, Ousmane Sonko qui rédigeait les requêtes et les avocats se chargeaient de corriger.
« Ousmane Sonko est un grand Stratège » et il me plaît de le rappeler en toute discrétion, et je vais trahir ce secret aujourd’hui, "(...) Il faisait lui-même les requêtes et nous les corrigions. Donc c’était un travail collectif entre nous et lui. Et c’est ce travail collectif qui a été produit et qui a sauvé le Sénégal. Donc Ousmane Sonko est pour nous une vraie référence", a révélé Me Cissé.
S’exprimant sur l’interpellation de Juan Branco, Me Bamba Cissé a estimé que finalement, c’est une bonne chose, car c’est à cause de ces bavures avec la participation des avocats que les Sénégalais se sont rendus compte de l’excès d’injustice exercé dans le pays. « En un moment, je me disais que nous étions tous devenus fous, parce que Juan Branco a été arrêté parce qu’il a séjourné au Sénégal alors qu’il ne faisait même pas l’objet d’une interdiction de séjour. Y ‘a des choses que je terrais, avec ces choses-là, je serais dans la tombe. Je ne les dirais jamais. Mais tout ça a participé au changement parce que les Sénégalais se sont rendus compte qu’il y a une injustice et cette injustice l’a été mis en exergue par les avocats, ils ont montré la face hideuse, du régime, l’injustice qui frappait ce Sénégal-là », a-t-il indiqué.
Au régime en place, Me Bamba Cissé d’avertir : « Maintenant, il y a une révolution ». Pour appuyer ses dires, il s’est basé sur un proverbe de « Marcel Prélot », pour les constitutionnalistes qui disaient que « la révolution ne nuit pas seulement au système qu’elle remplace, elle rend vulnérable celle qu’elle instaure en montrant que les gouvernants sont mortels ». Ajoutant que « c’est pour avertir nos dirigeants qu’une révolution n’est jamais acquise, il faut continuer le travail de terrain ».
À la jeunesse, Me Cissé a invité à s’engager pour la patrie et à ne rien attendre de l’Etat, car c’est à cette jeunesse de construire le pays. « Je l’ai dit la dernière fois, c’est à nous de changer le pays, on attend rien de personne. Nous sommes une jeunesse engagée et nous voulons changer ce pays. L’Etat peut nous accompagner certes, mais c’est à nous de prendre l’initiative de changer le pays. Le président Kennedy disait dans son discours à Berlin : « Un vrai patriote ce n’est pas celui qui dit que j’attends telle chose de l’Etat. Il dit qu’est-ce que moi, je peux apporter à ma patrie », a lancé le juriste.
« Ousmane Sonko est un grand Stratège » et il me plaît de le rappeler en toute discrétion, et je vais trahir ce secret aujourd’hui, "(...) Il faisait lui-même les requêtes et nous les corrigions. Donc c’était un travail collectif entre nous et lui. Et c’est ce travail collectif qui a été produit et qui a sauvé le Sénégal. Donc Ousmane Sonko est pour nous une vraie référence", a révélé Me Cissé.
S’exprimant sur l’interpellation de Juan Branco, Me Bamba Cissé a estimé que finalement, c’est une bonne chose, car c’est à cause de ces bavures avec la participation des avocats que les Sénégalais se sont rendus compte de l’excès d’injustice exercé dans le pays. « En un moment, je me disais que nous étions tous devenus fous, parce que Juan Branco a été arrêté parce qu’il a séjourné au Sénégal alors qu’il ne faisait même pas l’objet d’une interdiction de séjour. Y ‘a des choses que je terrais, avec ces choses-là, je serais dans la tombe. Je ne les dirais jamais. Mais tout ça a participé au changement parce que les Sénégalais se sont rendus compte qu’il y a une injustice et cette injustice l’a été mis en exergue par les avocats, ils ont montré la face hideuse, du régime, l’injustice qui frappait ce Sénégal-là », a-t-il indiqué.
Au régime en place, Me Bamba Cissé d’avertir : « Maintenant, il y a une révolution ». Pour appuyer ses dires, il s’est basé sur un proverbe de « Marcel Prélot », pour les constitutionnalistes qui disaient que « la révolution ne nuit pas seulement au système qu’elle remplace, elle rend vulnérable celle qu’elle instaure en montrant que les gouvernants sont mortels ». Ajoutant que « c’est pour avertir nos dirigeants qu’une révolution n’est jamais acquise, il faut continuer le travail de terrain ».
À la jeunesse, Me Cissé a invité à s’engager pour la patrie et à ne rien attendre de l’Etat, car c’est à cette jeunesse de construire le pays. « Je l’ai dit la dernière fois, c’est à nous de changer le pays, on attend rien de personne. Nous sommes une jeunesse engagée et nous voulons changer ce pays. L’Etat peut nous accompagner certes, mais c’est à nous de prendre l’initiative de changer le pays. Le président Kennedy disait dans son discours à Berlin : « Un vrai patriote ce n’est pas celui qui dit que j’attends telle chose de l’Etat. Il dit qu’est-ce que moi, je peux apporter à ma patrie », a lancé le juriste.
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