Le parrainage est anticonstitutionnel et constitue une arme pour le pouvoir lui permettant de se débarrasser de certains de ses adversaires lors de la présidentielle de 2019. C’est la conviction de Me Ciré Clédor Ly constitué par le leader du mouvement «Sénégal Rek » Pierre Goudiaby Atépa, recalé justement à cause de parrainages «invalides.»
Mais, l’avocat compte bien sortir victorieux de ce combat d’autant plus qu’il a affirmé, face à la presse ce week-end, disposer d’éléments «qui permettent de dire que le Conseil constitutionnel a déjà sabordé les élections présidentielles.»
Sur la stratégie que lui et son confrère, Demba Ciré Bathily comptent mettre en œuvre, la robe noir dévoile : «Nous avons prévu d’engager des procédures judiciaires. Il se trouve que le plus urgent, c’est d’engager des procédures au niveau national. Mais il n’est pas exclus que d’autres actions soient menées au cas où il y aurait un forcing pur l’élimination arbitraire des candidats par le Conseil constitutionnel afin que nous puissions saisir d’autres instances habilitées...»
A l’en croire, il s’agira de rétablir son client dans ses droits car «M. Goudiaby fait partie des victimes du parrainage ainsi que d’autres candidats. Mais nous, en tant qu’avocats, nous pensons globalement que c’est le parrainage qui constitue une mare dans la soupe et qui fait que tout le processus électoral est déjà miné. Mais aussi, que tout le processus électoral ne peut pas aboutir à des élections libres…»
Très en verve, il affirme que les prétextes invoqués par les 7 sages pour invalider certaines candidature posent le problème «sur les pouvoirs que le Conseil constitutionnel s’est donné. Il y a beaucoup de manquements, beaucoup d’irrégularités qui sont commises par le Conseil constitutionnel et qui ne relèvent même pas de leurs pouvoirs.»
Mais, l’avocat compte bien sortir victorieux de ce combat d’autant plus qu’il a affirmé, face à la presse ce week-end, disposer d’éléments «qui permettent de dire que le Conseil constitutionnel a déjà sabordé les élections présidentielles.»
Sur la stratégie que lui et son confrère, Demba Ciré Bathily comptent mettre en œuvre, la robe noir dévoile : «Nous avons prévu d’engager des procédures judiciaires. Il se trouve que le plus urgent, c’est d’engager des procédures au niveau national. Mais il n’est pas exclus que d’autres actions soient menées au cas où il y aurait un forcing pur l’élimination arbitraire des candidats par le Conseil constitutionnel afin que nous puissions saisir d’autres instances habilitées...»
A l’en croire, il s’agira de rétablir son client dans ses droits car «M. Goudiaby fait partie des victimes du parrainage ainsi que d’autres candidats. Mais nous, en tant qu’avocats, nous pensons globalement que c’est le parrainage qui constitue une mare dans la soupe et qui fait que tout le processus électoral est déjà miné. Mais aussi, que tout le processus électoral ne peut pas aboutir à des élections libres…»
Très en verve, il affirme que les prétextes invoqués par les 7 sages pour invalider certaines candidature posent le problème «sur les pouvoirs que le Conseil constitutionnel s’est donné. Il y a beaucoup de manquements, beaucoup d’irrégularités qui sont commises par le Conseil constitutionnel et qui ne relèvent même pas de leurs pouvoirs.»
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