Le mouvement Tekki a réagi face aux accusations d’atteinte à la sûreté de l’Etat dont un de ses membres fait l’objet et a mis en garde le Pouvoir. «Je voudrais mettre en garde le gouvernement notamment les ministres de la justice, de l’intérieur, des Forces armées, chef de la gendarmerie, qu’il y a des risque de tortures pour les manifestants arrêtés et des risques d’arrestations arbitraires qui vont avoir lieu aujourd’hui et si tel est le cas, nous allons avoir un autre 16 février (journée noire au cours de laquelle des policiers ont été tués)», a averti Me Ndèye Fatou Touré au micro de la Rfm.
Selon elle, le peuple, le mouvement Tekki, Bennoo Siggil Senegaal «ne vont pas se laisser faire». «Nous n’allons pas nous laisser détourner par une manœuvre de diversion qui tend à nous dévier de l’objectif que nous nous sommes assignés pour cette journée du 19 mars 2011, c’est-à-dire demander à tous les porteurs de suffrages, à tous les Sénégalais de sortir de leur maison puisque la politique, c’est n’est pas l’apanage des politiques seulement», a développé la parlementaire.
«C’est le peuple sénégalais qui est souverain et qui va devoir exprimer sa volonté, son suffrage le 26 février 2012», a-t-elle poursuivi en indiquant que «le gouvernement nous a conduits dans une impasse et ne voudrait pas qu’on le dénonce». «Voilà pourquoi, ils ont fomenté cette accusation d’atteinte à la sûreté de l’Etat en laissant les responsables que nous sommes», a argumenté Me Ndèye Fatou Touré qui conseille que «la panique ne donne pas droit à des exactions».
Selon elle, le peuple, le mouvement Tekki, Bennoo Siggil Senegaal «ne vont pas se laisser faire». «Nous n’allons pas nous laisser détourner par une manœuvre de diversion qui tend à nous dévier de l’objectif que nous nous sommes assignés pour cette journée du 19 mars 2011, c’est-à-dire demander à tous les porteurs de suffrages, à tous les Sénégalais de sortir de leur maison puisque la politique, c’est n’est pas l’apanage des politiques seulement», a développé la parlementaire.
«C’est le peuple sénégalais qui est souverain et qui va devoir exprimer sa volonté, son suffrage le 26 février 2012», a-t-elle poursuivi en indiquant que «le gouvernement nous a conduits dans une impasse et ne voudrait pas qu’on le dénonce». «Voilà pourquoi, ils ont fomenté cette accusation d’atteinte à la sûreté de l’Etat en laissant les responsables que nous sommes», a argumenté Me Ndèye Fatou Touré qui conseille que «la panique ne donne pas droit à des exactions».
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