La Secrétaire générale du Synpics, Diatou Cissé et les différents acteurs de la presse ont fait un bilan de la couverture de la présidentielle de 2012. A cet effet, ils ont évoqué les différents efforts fournis par les journalistes pendant la campagne ainsi que les blocages rencontrés. C’était lors d’un atelier tenu par le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal.
D’après l’étude de monitoring sur la couverture de cette campagne électorale, l’essentiel des contenus diffusés dans la presse, se focalisait sur les activités politiques. Ainsi, des études ont été faites sur les contenus des informations diffusées par les radios, télés et presse écrite. Concernant la bonne gestion de cette couverture, des moyens ont été déployés. La Présidente du Synpics a rappelé que la structure a tenu des ateliers de formation pour mieux outiller les reporters sur le terrain.
Dans ce sens, une neutralité et une attention particulière a été accordée aux notions liées à l’éthique et à la déontologie des journalistes surtout dans le domaine du traitement des informations. Cependant, tout n’était pas blanc. Il y a eu quelques blocages concernant la gestion des informations par les médias.
Dans ce contexte certaines remarques ont été faites. Ainsi, le Synpics a relevé que le Président sortant Abdoulaye Wade a été mieux servi en termes de temps d’antenne et de traitement par la presse écrite. En outre, il a été noté que le discours direct était peu utilisé par les candidats. L’information était souvent transmise par le journaliste.
Par ailleurs on a noté une implication des réseaux sociaux. Selon le Président de l’Association des Professionnels de la presse en ligne (APPEL), Ibrahima Lissa Faye, les réseaux sociaux et la presse en ligne ont joué un rôle déterminant durant la campagne électorale. Il a présenté les forces, faiblesses et limites de son domaine. D’après lui, environ 700 milles sénégalais sont présents sur facebook et durant la campagne les résultats tombés en temps réel. Selon toujours la présentation de M. Faye les tweets des sénégalais qui étaient de 3500 par jour, sont passés à plus de 5 mille durant la campagne,; soit près de 12 milles tweets avec le hachtack Sunu 2012.
Basile Niane, président de l’association des bloggeurs du Sénégal, a pour sa part relaté le travail déployé par sa structure durant ces joutes. D’après lui, une plateforme a été créé pour la gestion de la campagne. C’est dans ce contexte que Kébétu et Sunu 2012 ont été mis à la disposition des bloggeurs. Cependant quelques blocages ont été relevés, à savoir des inquiétudes par rapport à la fiabilité des informations collectées dans ces réseaux. Mais les représentants de la presse en ligne et des réseaux sociaux n’ont pas manqué de rassurer sur le fait que la structuration de leur plateforme offre moins de risques d’incertitudes.
D’après l’étude de monitoring sur la couverture de cette campagne électorale, l’essentiel des contenus diffusés dans la presse, se focalisait sur les activités politiques. Ainsi, des études ont été faites sur les contenus des informations diffusées par les radios, télés et presse écrite. Concernant la bonne gestion de cette couverture, des moyens ont été déployés. La Présidente du Synpics a rappelé que la structure a tenu des ateliers de formation pour mieux outiller les reporters sur le terrain.
Dans ce sens, une neutralité et une attention particulière a été accordée aux notions liées à l’éthique et à la déontologie des journalistes surtout dans le domaine du traitement des informations. Cependant, tout n’était pas blanc. Il y a eu quelques blocages concernant la gestion des informations par les médias.
Dans ce contexte certaines remarques ont été faites. Ainsi, le Synpics a relevé que le Président sortant Abdoulaye Wade a été mieux servi en termes de temps d’antenne et de traitement par la presse écrite. En outre, il a été noté que le discours direct était peu utilisé par les candidats. L’information était souvent transmise par le journaliste.
Par ailleurs on a noté une implication des réseaux sociaux. Selon le Président de l’Association des Professionnels de la presse en ligne (APPEL), Ibrahima Lissa Faye, les réseaux sociaux et la presse en ligne ont joué un rôle déterminant durant la campagne électorale. Il a présenté les forces, faiblesses et limites de son domaine. D’après lui, environ 700 milles sénégalais sont présents sur facebook et durant la campagne les résultats tombés en temps réel. Selon toujours la présentation de M. Faye les tweets des sénégalais qui étaient de 3500 par jour, sont passés à plus de 5 mille durant la campagne,; soit près de 12 milles tweets avec le hachtack Sunu 2012.
Basile Niane, président de l’association des bloggeurs du Sénégal, a pour sa part relaté le travail déployé par sa structure durant ces joutes. D’après lui, une plateforme a été créé pour la gestion de la campagne. C’est dans ce contexte que Kébétu et Sunu 2012 ont été mis à la disposition des bloggeurs. Cependant quelques blocages ont été relevés, à savoir des inquiétudes par rapport à la fiabilité des informations collectées dans ces réseaux. Mais les représentants de la presse en ligne et des réseaux sociaux n’ont pas manqué de rassurer sur le fait que la structuration de leur plateforme offre moins de risques d’incertitudes.