Bacar Dia est un ancien ministre de l’information et porte-parole du gouvernement. Le débat autour de la télé de Youssou Ndour a commencé alors qu’il était ministre de l’information. Il précise aujourd’hui qu’il avait bien sûr signé pour une télé culturelle avec l’assurance d’aller vers une télé généraliste.
Ne voulant pas apprécier le travail de ses prédécesseurs comme porte-parole du gouvernement, il avance que sa méthode était fondée sur la stratégie du harcèlement. Selon Bacar Dia, le porte-parole est un fusible, en son temps, le Président répondait moins, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Il a sentiment actuellement que le Président est trop a u devant de l’actualités.
Sur le projet du code de la presse, il regrette de ne pas être impliqué comme aussi un autre ancien ministre de l’information, Mamadou Diop Decroix. Bacar Dia annonce que lui comme Decroix avaient beaucoup travaillé sur ce code. Il n’a pas manqué de préciser que la presse sénégalaise est une presse responsable, consciente de sa mission. D’ailleurs, il analyse qu’un homme politique qui n’intègre pas cette presse forte et cette société civile forte va toujours faire des erreurs.
L’ancien ministre de l’information et secrétaire général du front populaire (mouvance présidentielle), trouve excellente la marche de l’opposition. Il pense qu’il y a douze ou treize ans une marche de l’opposition terminait avec des grenades lacrymogénes. Seulement pour lui, c’est au régime d’exploiter le message de l’opposition pour en faire des opportunités.
Ne voulant pas apprécier le travail de ses prédécesseurs comme porte-parole du gouvernement, il avance que sa méthode était fondée sur la stratégie du harcèlement. Selon Bacar Dia, le porte-parole est un fusible, en son temps, le Président répondait moins, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui. Il a sentiment actuellement que le Président est trop a u devant de l’actualités.
Sur le projet du code de la presse, il regrette de ne pas être impliqué comme aussi un autre ancien ministre de l’information, Mamadou Diop Decroix. Bacar Dia annonce que lui comme Decroix avaient beaucoup travaillé sur ce code. Il n’a pas manqué de préciser que la presse sénégalaise est une presse responsable, consciente de sa mission. D’ailleurs, il analyse qu’un homme politique qui n’intègre pas cette presse forte et cette société civile forte va toujours faire des erreurs.
L’ancien ministre de l’information et secrétaire général du front populaire (mouvance présidentielle), trouve excellente la marche de l’opposition. Il pense qu’il y a douze ou treize ans une marche de l’opposition terminait avec des grenades lacrymogénes. Seulement pour lui, c’est au régime d’exploiter le message de l’opposition pour en faire des opportunités.
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