Le ministre de la Communication, des Télécommunications et du Numérique, Alioune Sall, a annoncé, ce mardi25 juin, que le gouvernement du Sénégal travail sur un nouvel organe de régulation des médias. Cet organe serait en mesure de prendre en compte les évolutions et les différentes spécificités intervenues dans le secteur de la presse.
« Aujourd’hui, 18 années après l’avènement du CNRA (Conseil national de régulation de l’audiovisuel) et dans un contexte où les normes internationales, visant la dépénalisation des délits de presse et auxquelles le Sénégal s’est toujours conformé, s’imposent de plus en plus. Il est donc crucial de se doter d’un nouvel organe de régulation qui prendra en compte les différentes spécificités du monde des médias et des réseaux sociaux », a déclaré Alioune Sall, lors de la journée d’étude organisée par le Haut Commissariat de Nations Unies aux droits de l’homme en partenariat avec la Coordination des Associations de Presse du Sénégal (CAP), la Convention des jeunes reporters du Senegal(CJRS), l’ Association des Éditeurs et Professionnels de la Presse en Ligne du Sénégal (APPEL), le CORED et Article 19.
Le ministre qui a tenu ces propos devant des représentants du Centre d’informations des Nations unies basé à Dakar et des organisations et associations de journalistes, a indiqué que ces réformes envisagées impliqueront également une révision de certaines dispositions du Code de la presse devenues caduques ».
« Je tiens à rappeler aux partenaires des médias notamment les associations ici présentes ainsi que nos partenaires techniques des Nations unies et de la société civile, que le nouveau gouvernement mettra tout en œuvre pour garantir une plus grande transparence dans la gouvernance du secteur des médias, a-t-il martelé.
« Aujourd’hui, 18 années après l’avènement du CNRA (Conseil national de régulation de l’audiovisuel) et dans un contexte où les normes internationales, visant la dépénalisation des délits de presse et auxquelles le Sénégal s’est toujours conformé, s’imposent de plus en plus. Il est donc crucial de se doter d’un nouvel organe de régulation qui prendra en compte les différentes spécificités du monde des médias et des réseaux sociaux », a déclaré Alioune Sall, lors de la journée d’étude organisée par le Haut Commissariat de Nations Unies aux droits de l’homme en partenariat avec la Coordination des Associations de Presse du Sénégal (CAP), la Convention des jeunes reporters du Senegal(CJRS), l’ Association des Éditeurs et Professionnels de la Presse en Ligne du Sénégal (APPEL), le CORED et Article 19.
Le ministre qui a tenu ces propos devant des représentants du Centre d’informations des Nations unies basé à Dakar et des organisations et associations de journalistes, a indiqué que ces réformes envisagées impliqueront également une révision de certaines dispositions du Code de la presse devenues caduques ».
« Je tiens à rappeler aux partenaires des médias notamment les associations ici présentes ainsi que nos partenaires techniques des Nations unies et de la société civile, que le nouveau gouvernement mettra tout en œuvre pour garantir une plus grande transparence dans la gouvernance du secteur des médias, a-t-il martelé.