« Aucune presse ne devrait être aux ordres de qui que ce soit », a plaidé le secrétaire général du gouvernement qui renseigne que la presse « est une fonction éminente dans notre démocratie » de par l’importance de la délibération. Pensant que le rôle de la presse contribue à « l’autonomisation des citoyens », Seydou Guèye refuse de ce point de vue, « une presse aux ordres ».
Toutefois, loin de jeter des fleurs aux médias, le porte-parole de l’Alliance Pour la République (APR) fulmine contre « une presse qui verse des insanités sur les uns et les autres ». M. Guèye qui indique que la presse « est condamnée à être objective », exhorte à cet effet les acteurs politiques à « comprendre que la presse est aussi un pouvoir qui doit être régulé par les instances qui doivent le faire ». Favorable au renforcement des capacités de ces instances de régulation, « la liberté de la presse doit être un combat porté aussi bien par la presse que par l’ensemble des citoyens, y compris les acteurs politiques qui doivent être en première ligne de ce combat », propose le secrétaire général du gouvernement.
Toutefois, loin de jeter des fleurs aux médias, le porte-parole de l’Alliance Pour la République (APR) fulmine contre « une presse qui verse des insanités sur les uns et les autres ». M. Guèye qui indique que la presse « est condamnée à être objective », exhorte à cet effet les acteurs politiques à « comprendre que la presse est aussi un pouvoir qui doit être régulé par les instances qui doivent le faire ». Favorable au renforcement des capacités de ces instances de régulation, « la liberté de la presse doit être un combat porté aussi bien par la presse que par l’ensemble des citoyens, y compris les acteurs politiques qui doivent être en première ligne de ce combat », propose le secrétaire général du gouvernement.