La Cédéao, la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’ouest, a nommé un représentant résident en Guinée-Bissau, tout en étant consciente que la tâche du nouveau diplomate ne sera pas aisée. « Le cas de la Guinée-Bissau est un cas particulier. Ici, la situation est telle que j’ai eu l’accord du chef de l’Etat pour nommer un ambassadeur de la Cédéao, ici. Et cet ambassadeur aura une mission assez difficile », concède au micro de RFI Marcel Alain de Souza, président de la Commission de la Cédéao.
D'ailleurs le nouveau représentant est conscient de l’importance de sa mission et des résultats attendus. « J’ai une mission et je suivrai la feuille de route du président de la Cédéao. Je vais examiner [la situation], et on discutera, on fera des propositions au président de la Cédéao », explique le diplomate ivoirien Blaise Diplo, ancien cadre de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et désormais ambassadeur de la Cédéao en Guinée-Bissau.
La Cédéao, qui maintient en Guinée-Bissau une force d’attente d’un peu plus de 500 hommes, serait-elle fatiguée de ses crises à répétition. « Un pays ne peut pas rester éternellement en crise, assure Marcel Alain de Souza. Nous n’avons pas de solutions miracle. Les solutions ne peuvent venir que des fils et filles de la Guinée-Bissau et ce que l’on tient à leur dire c’est qu’ils n’ont qu’un seul patrimoine commun et il s’appelle la Guinée-Bissau. »
Source: Rfi.fr
D'ailleurs le nouveau représentant est conscient de l’importance de sa mission et des résultats attendus. « J’ai une mission et je suivrai la feuille de route du président de la Cédéao. Je vais examiner [la situation], et on discutera, on fera des propositions au président de la Cédéao », explique le diplomate ivoirien Blaise Diplo, ancien cadre de la Banque centrale des Etats d'Afrique de l'Ouest (BCEAO) et désormais ambassadeur de la Cédéao en Guinée-Bissau.
La Cédéao, qui maintient en Guinée-Bissau une force d’attente d’un peu plus de 500 hommes, serait-elle fatiguée de ses crises à répétition. « Un pays ne peut pas rester éternellement en crise, assure Marcel Alain de Souza. Nous n’avons pas de solutions miracle. Les solutions ne peuvent venir que des fils et filles de la Guinée-Bissau et ce que l’on tient à leur dire c’est qu’ils n’ont qu’un seul patrimoine commun et il s’appelle la Guinée-Bissau. »
Source: Rfi.fr