«Par droit de réponse publié le mardi 9 mai dans le quotidien national Le Soleil et le quotidien privé Zoom Infos, le chef de cabinet du ministre de la Pêche et de l’Economie maritime M. Oumar Guèye s’est livré à un soit disant éclairage suite à la couverture-diffusion du meeting de l’alliance pour la République du 6 mai à Bambilor», campe l’Association des journalistes en presse écrite de Rufisque.
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, AJPE/R indique qu’«il est reproché aux reporters des deux (2) quotidiens ainsi qu’à tous les journalistes ayant relayé l’événement de manière générale, d’avoir occulté « la grande mobilisation et la réconciliation » entre deux frères de parti au détriment du constat de Me Oumar Youm d’une unité qui reste à parfaire et de l’incident ayant momentanément interrompu la manifestation».
«Dans le droit de réponse accordé selon les règles du métier, le chef de cabinet dira en parlant du dit incident : « L’incident qui a eu lieu, l’a été du fait d’une personne encagoulée, ivre, armée de pistolets, qui a tenté de monter au niveau de la tribune où il y’avait des ministres, des députés, des maires et autres responsables». Nous ne dirons pas heureusement puisque trois (3) gardes du corps sont sortis de cette bagarre avec des blessures. Et, imaginez un seul instant qu’un des officiels aient eu la malchance de recevoir un coup dans cette débandade provoquée par les machettes, poignards et autre armes brandis en pleine loge officielle», relatent ces journalistes qui se demandent : «Comment alors en vouloir à des journalistes qui ont préféré, à juste raison d’ailleurs, mettre le focus sur ce fait ? Toutes les parutions de ce lundi 08 mai ont fait cas d’une bagarre entre gardes du corps et non entre militants. Donc, vouloir faire croire aux lecteurs que les journalistes ont affirmé le contraire relève d’une pure malhonnêteté qui tend à jeter le discrédit sur les journalistes».
AJPE/R qui «ne doute point que cet épisode, faisant suite à d’autres antécédents, n’a pour unique but que de tenter de décrédibiliser les journalistes de Rufisque. Debout en un corps, nous réaffirmons notre engagement à livrer la bonne information dans les règles de l’art comme édicté par les règles d’éthique et de déontologie».
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, AJPE/R indique qu’«il est reproché aux reporters des deux (2) quotidiens ainsi qu’à tous les journalistes ayant relayé l’événement de manière générale, d’avoir occulté « la grande mobilisation et la réconciliation » entre deux frères de parti au détriment du constat de Me Oumar Youm d’une unité qui reste à parfaire et de l’incident ayant momentanément interrompu la manifestation».
«Dans le droit de réponse accordé selon les règles du métier, le chef de cabinet dira en parlant du dit incident : « L’incident qui a eu lieu, l’a été du fait d’une personne encagoulée, ivre, armée de pistolets, qui a tenté de monter au niveau de la tribune où il y’avait des ministres, des députés, des maires et autres responsables». Nous ne dirons pas heureusement puisque trois (3) gardes du corps sont sortis de cette bagarre avec des blessures. Et, imaginez un seul instant qu’un des officiels aient eu la malchance de recevoir un coup dans cette débandade provoquée par les machettes, poignards et autre armes brandis en pleine loge officielle», relatent ces journalistes qui se demandent : «Comment alors en vouloir à des journalistes qui ont préféré, à juste raison d’ailleurs, mettre le focus sur ce fait ? Toutes les parutions de ce lundi 08 mai ont fait cas d’une bagarre entre gardes du corps et non entre militants. Donc, vouloir faire croire aux lecteurs que les journalistes ont affirmé le contraire relève d’une pure malhonnêteté qui tend à jeter le discrédit sur les journalistes».
AJPE/R qui «ne doute point que cet épisode, faisant suite à d’autres antécédents, n’a pour unique but que de tenter de décrédibiliser les journalistes de Rufisque. Debout en un corps, nous réaffirmons notre engagement à livrer la bonne information dans les règles de l’art comme édicté par les règles d’éthique et de déontologie».