Le Syndicat Unique des Travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale (SUTSAS) donne trente (30) jours au gouvernement pour éviter le pire. Mballo Dia Thiam et Cie comptent dérouler leur cinquième plan d’action sur une période de six (6) mois si l’Etat ne répond pas favorablement à leur plateforme revendicative. «Nous avions décliné quatre (4) plans d’actions. Avant de décliner le cinquième, des parlementaires dirigés par l’Imam Mbaye Niang étaient venus nous demander de surseoir à notre plan d’action parce qu’ils allaient faire une médiation avec les autorités pour l’application des accords du 17 février 2014. Je rappelle que ces accords ont été qualifiés par le gouvernement de réalisables mais finalement le gouvernement est allé en vacances, ils sont revenus et depuis lors ils ne sont pas intéressés à la question », sert le Secrétaire général.
Selon Mballo Dia Thiam parle de «préoccupations» sur les ondes de Walfadjri, «l’Etat avait dit qu’il allait soumettre au SUTSAS à l’issue d’une étude, un système de rémunération plus attractif et plus pertinent». Cette étude terminée, le syndicaliste indique qu’ils attendent toujours une réaction de la part de l’Etat du Sénégal. «Nous voulons que le gouvernement ouvre les négociations sur les revendications financières», pose le SUTSAS qui donne un délai de trente (30) jours selon la législation. «C’est du 28 septembre au 28 octobre. Au-delà de ce délai, si rien ne se réalise, nous allons décliner un plan d’action et nous irons jusqu’à la rétention de l’information sanitaire», prévient Mballo Dia Thiam.
Selon Mballo Dia Thiam parle de «préoccupations» sur les ondes de Walfadjri, «l’Etat avait dit qu’il allait soumettre au SUTSAS à l’issue d’une étude, un système de rémunération plus attractif et plus pertinent». Cette étude terminée, le syndicaliste indique qu’ils attendent toujours une réaction de la part de l’Etat du Sénégal. «Nous voulons que le gouvernement ouvre les négociations sur les revendications financières», pose le SUTSAS qui donne un délai de trente (30) jours selon la législation. «C’est du 28 septembre au 28 octobre. Au-delà de ce délai, si rien ne se réalise, nous allons décliner un plan d’action et nous irons jusqu’à la rétention de l’information sanitaire», prévient Mballo Dia Thiam.