C'est à travers un communiqué de presse que le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication du Sénégal (SYNPICS), est sorti ce dimanche 7 février pour dénoncer les menaces reçues par le journal "Les Echos". « Il nous été donné de constater que le quotidien les Échos, est la cible de toutes sortes d'attaques qui se manifestent par des appels téléphoniques, des posts sur les réseaux sociaux et même la publication- diffusion de la photo de son Directeur de Publication. Le journal quotidien a publié en premier, l'information portant sur une plainte pour viol présumée sur la personne d'une employée d'un salon de massage par un homme politique, député à l’assemblée nationale » renseigne le syndicat.
Selon les camarades de Bamba Kassé Kassé, secrétaire général du Synpics, «ces pratiques pour tenter d'intimider des journalistes sont d'un autre monde et ne sauraient prospérer, le journaliste ayant une liberté universellement reconnue et mondialement protégée, d'informer le public selon des règles déontologiques qui ont fini d'être éprouvées».
Le Synpics dit suivre « avec grand intérêt les développements de cette affaire en ce qu'elle semble désormais non pas opposer l'accusatrice et l'accusé, mais constituer un prétexte pour certains, de tenter de jeter le discrédit sur la presse sénégalaise par tous les moyens, y compris par la violence verbale et/ou physique ».
Il salut « la promptitude avec laquelle une surveillance policière a été mise en place pour prévenir tout acte malheureux au siège du journal "Les Echos". La publication a déjà été victime récemment du saccage de ses locaux suite à un article de presse. A tous ceux, extrémistes de tout bord, qui pensent que la presse doit être de leur coté, ou que le devoir d'informer ne vaut que lorsque la cible est un adversaire, nous rappelons que la liberté de la presse n'a pas de couleur politique, religieuse, sociale ou économique».
Aujourd'hui « aucun Etat, aucun groupe de pression quelle que soit sa nature, ne saurait contenir, par quelque moyen que ce soit, le droit du public à disposer d'une information plurielle. Ce droit n'est pas seulement constitutionnel, il est aussi et surtout Universel ». Aussi le Synpics en appelle à la sérénité et au sens de la responsabilité de tous.
Selon les camarades de Bamba Kassé Kassé, secrétaire général du Synpics, «ces pratiques pour tenter d'intimider des journalistes sont d'un autre monde et ne sauraient prospérer, le journaliste ayant une liberté universellement reconnue et mondialement protégée, d'informer le public selon des règles déontologiques qui ont fini d'être éprouvées».
Le Synpics dit suivre « avec grand intérêt les développements de cette affaire en ce qu'elle semble désormais non pas opposer l'accusatrice et l'accusé, mais constituer un prétexte pour certains, de tenter de jeter le discrédit sur la presse sénégalaise par tous les moyens, y compris par la violence verbale et/ou physique ».
Il salut « la promptitude avec laquelle une surveillance policière a été mise en place pour prévenir tout acte malheureux au siège du journal "Les Echos". La publication a déjà été victime récemment du saccage de ses locaux suite à un article de presse. A tous ceux, extrémistes de tout bord, qui pensent que la presse doit être de leur coté, ou que le devoir d'informer ne vaut que lorsque la cible est un adversaire, nous rappelons que la liberté de la presse n'a pas de couleur politique, religieuse, sociale ou économique».
Aujourd'hui « aucun Etat, aucun groupe de pression quelle que soit sa nature, ne saurait contenir, par quelque moyen que ce soit, le droit du public à disposer d'une information plurielle. Ce droit n'est pas seulement constitutionnel, il est aussi et surtout Universel ». Aussi le Synpics en appelle à la sérénité et au sens de la responsabilité de tous.
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