La cérémonie d’ouverture de la 12ème édition du symposium des Chefs d’état-major des Armées de l’air africaines, édition 2023 a eu lieu mardi à Dakar (Sénégal). Il y a eu 44 délégations venues, entre autres
, de la Mauritanie, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, République du Congo, Rwanda, Seychelles, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Afrique du Sud, Tanzanie, Togo, Tunisie et Zambie. Ils vont échanger sur les différentes pistes de solutions communes pour renforcer leurs rôles dans la prise en compte des menaces transnationales avec des modes d'action plus élaborés.
« C'est pour moi un honneur de vous recevoir ici à Dakar, dans le cadre de cette 12e édition de symposium de Chefs d'État Major des Armées de l'air Africaines pour discuter de sujets aussi importants que l'emploi de l'arme aérienne face aux menaces transnationales. Depuis une quinzaine d'années, de nombreuses régions d'Afrique connaissent un développement des mouvements terroristes notamment le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), le groupe Etat islamique dans le Sahel, Boko Haram dans la région du lac Tchad, Al Chebab dans la corne de l'Afrique, Ansar Al Charia et l'organisation Etat islamique dans la région du Maghreb. Les activités de ces groupes sont à l'origine de plusieurs milliers de victimes et du déplacement de millions de personnes causant ainsi des catastrophes humanitaires sans précédent », a déclaré Pape Souleymane Sarr, Général de l'Armée de l'air sénégalaise.
Pour le général Sarr, « aujourd'hui, force est de reconnaître que ces groupuscules tentent de contrôler des pans entiers de territoires qui se trouvent entre plusieurs États, d'où la nécessité d'une synergie collective. Il s'agira au sortir de ce symposium de dégager des pistes de solutions communes que nos armées de l'air pourront considérer pour renforcer leurs rôles dans la prise en compte des menaces transnationales avec des modes d'actions plus en plus élaborés. Il est surtout essentiel et primordial de travailler à développer une approche plus collaborative face aux défis communs, par la mutualisation de nos moyens, mais aussi de nos efforts ».
« Il y a 44 délégations qui sont représentées à ce symposium, qui est le 12e du genre des chefs d'État général des Armées de l'air africaines. Entre autres, nous allons parler de l'utilisation de moyens et tout ce qui peut éclairer le champ de bataille. Nous allons parler aussi du rôle de la femme dans la défense, la mutualisation des moyens du transport aérien entre les pays de l'Afrique. Les perspectives, c'est d'amener tous à une coopération. Parce qu'aujourd'hui, nous avons les mêmes menaces. Nous devons tous ensemble travailler pour repousser l'ennemi. Le Sénégal possède les moyens qui lui permettent d'assurer une bonne veille au niveau de nos frontières », a poursuivie le Général Sarr.
, de la Mauritanie, Maroc, Mozambique, Namibie, Niger, Nigeria, République du Congo, Rwanda, Seychelles, Sénégal, Sierra Leone, Somalie, Afrique du Sud, Tanzanie, Togo, Tunisie et Zambie. Ils vont échanger sur les différentes pistes de solutions communes pour renforcer leurs rôles dans la prise en compte des menaces transnationales avec des modes d'action plus élaborés.
« C'est pour moi un honneur de vous recevoir ici à Dakar, dans le cadre de cette 12e édition de symposium de Chefs d'État Major des Armées de l'air Africaines pour discuter de sujets aussi importants que l'emploi de l'arme aérienne face aux menaces transnationales. Depuis une quinzaine d'années, de nombreuses régions d'Afrique connaissent un développement des mouvements terroristes notamment le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM), le groupe Etat islamique dans le Sahel, Boko Haram dans la région du lac Tchad, Al Chebab dans la corne de l'Afrique, Ansar Al Charia et l'organisation Etat islamique dans la région du Maghreb. Les activités de ces groupes sont à l'origine de plusieurs milliers de victimes et du déplacement de millions de personnes causant ainsi des catastrophes humanitaires sans précédent », a déclaré Pape Souleymane Sarr, Général de l'Armée de l'air sénégalaise.
Pour le général Sarr, « aujourd'hui, force est de reconnaître que ces groupuscules tentent de contrôler des pans entiers de territoires qui se trouvent entre plusieurs États, d'où la nécessité d'une synergie collective. Il s'agira au sortir de ce symposium de dégager des pistes de solutions communes que nos armées de l'air pourront considérer pour renforcer leurs rôles dans la prise en compte des menaces transnationales avec des modes d'actions plus en plus élaborés. Il est surtout essentiel et primordial de travailler à développer une approche plus collaborative face aux défis communs, par la mutualisation de nos moyens, mais aussi de nos efforts ».
« Il y a 44 délégations qui sont représentées à ce symposium, qui est le 12e du genre des chefs d'État général des Armées de l'air africaines. Entre autres, nous allons parler de l'utilisation de moyens et tout ce qui peut éclairer le champ de bataille. Nous allons parler aussi du rôle de la femme dans la défense, la mutualisation des moyens du transport aérien entre les pays de l'Afrique. Les perspectives, c'est d'amener tous à une coopération. Parce qu'aujourd'hui, nous avons les mêmes menaces. Nous devons tous ensemble travailler pour repousser l'ennemi. Le Sénégal possède les moyens qui lui permettent d'assurer une bonne veille au niveau de nos frontières », a poursuivie le Général Sarr.