Dans un communiqué conjoint datant de ce lundi 8 juillet, des organisations de droit humains tel que, l'Action pour les Droits Humains et l’Amitié (ADHA), le Mouvement pour l’Éthique et la Transparence (MET) et le MIAMSI-Sénégal dénoncent la mendicité des enfants pour la plupart des étrangers, dans les rues de Dakar. Face à ce fléau, l’ADHA, le MET et le MIAMSI appellent à une action urgente des autorités sénégalaises pour mettre fin à cette situation «inacceptable». Elles demandent par ailleurs l’application stricte des lois existantes pour protéger les enfants et les personnes vulnérables contre l’exploitation. insistant sur la nécessité d’une surveillance rigoureuse des frontières.
Ces organisations alertent dans le document sur la situation « alarmante où de nombreux enfants, souvent d’origine étrangère, particulièrement vulnérables, sont exposés à de multiples dangers et vivent dans des conditions extrêmement précaires dormant à ciel ouvert et mendient dans la capitale sénégalaise ».
Elles déplorent également « l’inaction » des autorités compétentes, telles que le « Comité national de lutte contre la traite des personnes et le trafic Illicite de migrants, ainsi que les directions et ministères concernés. Le silence des structures étatiques face à cette situation constitue une source de préoccupation majeure pour les organisations ».
Par ailleurs, ces organisations dénoncent la « non-application des lois sénégalaises sur la mendicité et la protection de l’enfance est particulièrement critiquée ».
« Le Sénégal, ayant ratifié la Convention Internationale des Droits de l’Enfant le 31 juillet 1990, s'est engagé à protéger les enfants et à leur assurer survie et développement. Malgré cela, les lois visant à protéger les enfants contre l’exploitation et la mendicité forcée ne sont pas rigoureusement appliquées », lit-on sur le communiqué conjoint.
Ces organisations alertent dans le document sur la situation « alarmante où de nombreux enfants, souvent d’origine étrangère, particulièrement vulnérables, sont exposés à de multiples dangers et vivent dans des conditions extrêmement précaires dormant à ciel ouvert et mendient dans la capitale sénégalaise ».
Elles déplorent également « l’inaction » des autorités compétentes, telles que le « Comité national de lutte contre la traite des personnes et le trafic Illicite de migrants, ainsi que les directions et ministères concernés. Le silence des structures étatiques face à cette situation constitue une source de préoccupation majeure pour les organisations ».
Par ailleurs, ces organisations dénoncent la « non-application des lois sénégalaises sur la mendicité et la protection de l’enfance est particulièrement critiquée ».
« Le Sénégal, ayant ratifié la Convention Internationale des Droits de l’Enfant le 31 juillet 1990, s'est engagé à protéger les enfants et à leur assurer survie et développement. Malgré cela, les lois visant à protéger les enfants contre l’exploitation et la mendicité forcée ne sont pas rigoureusement appliquées », lit-on sur le communiqué conjoint.