Barthélémy Dias a fait face, hier, à la presse pour se prononcer sur les rumeurs concernant un clash entre lui et les magistrats. Ce qu’il nie catégoriquement considérant plutôt que c’est avec le ministre Amadou qu’il en a : «Je n’ai aucun problème avec les magistrats, mais j’en ai avec le ministre des Finances, Amadou Ba », a-t-il déclaré à l’entame de ses propos.
Et sa thèse ne reposerait pas sur de simples allégations sans fondement car, il a soutenu que : «sur les investigations que nous avons faites, certaines de nos personnalités ont reçu des baux et les ont revendus. Des Sénégalais ont acheté ces baux qui ne signifient nullement la détention d’un terrain, mais un emprunt. La loi soutient que si vous êtes détenteurs d’un bail dans une localité, vous n’avez plus le droit d’en avoir un autre. Tandis que les personnes qui sont concernées sur les 3 hectares ont tous des baux. Parce que tout simplement, ils ont de hautes responsabilités dans ce pays. C’était pour que tout le monde puisse avoir des terrains. Et si vous êtes attributaires, vous n’avez pas le droit de les vendre».
Le maire socialiste d’ajouter : «Je souhaite que le titre foncier de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur soit remis à la commune, dans le cadre de l’esprit de la loi des Collectivités locales. Car la loi dit que sur le domaine public national, si une personne veut construire une maison ou une école coranique, avant de construire, il faudrait d’abord faire une demande à la mairie. Si c’est pour un hôtel de ville, une bibliothèque ou un hôpital, une crèche, la commune est prioritaire».
Se prononçant sur les mécaniciens établis sur le terrain adossé à l’ancienne piste, l’édile de Mermoz maintient toujours sa position qui est de les déloger malgré la posture de l’Etat qui, pense-t-il, traine les pays pour les faire évacuer des lieux : «on nous explique que sur un terrain privé, l’Etat ne peut rien y faire. Les mécaniciens partiront d’une façon ou d’une autre. La commune de Sacré-Cœur a des moyens de les faire déguerpir et elle compte y aller jusqu’au bout».
Et sa thèse ne reposerait pas sur de simples allégations sans fondement car, il a soutenu que : «sur les investigations que nous avons faites, certaines de nos personnalités ont reçu des baux et les ont revendus. Des Sénégalais ont acheté ces baux qui ne signifient nullement la détention d’un terrain, mais un emprunt. La loi soutient que si vous êtes détenteurs d’un bail dans une localité, vous n’avez plus le droit d’en avoir un autre. Tandis que les personnes qui sont concernées sur les 3 hectares ont tous des baux. Parce que tout simplement, ils ont de hautes responsabilités dans ce pays. C’était pour que tout le monde puisse avoir des terrains. Et si vous êtes attributaires, vous n’avez pas le droit de les vendre».
Le maire socialiste d’ajouter : «Je souhaite que le titre foncier de la commune de Mermoz-Sacré-Cœur soit remis à la commune, dans le cadre de l’esprit de la loi des Collectivités locales. Car la loi dit que sur le domaine public national, si une personne veut construire une maison ou une école coranique, avant de construire, il faudrait d’abord faire une demande à la mairie. Si c’est pour un hôtel de ville, une bibliothèque ou un hôpital, une crèche, la commune est prioritaire».
Se prononçant sur les mécaniciens établis sur le terrain adossé à l’ancienne piste, l’édile de Mermoz maintient toujours sa position qui est de les déloger malgré la posture de l’Etat qui, pense-t-il, traine les pays pour les faire évacuer des lieux : «on nous explique que sur un terrain privé, l’Etat ne peut rien y faire. Les mécaniciens partiront d’une façon ou d’une autre. La commune de Sacré-Cœur a des moyens de les faire déguerpir et elle compte y aller jusqu’au bout».