Réuni ce lundi 19 avril en bureau politique sous la présidence de leur Secrétaire Général, Moustapha Niasse, l’Alliance des Forces de Progrès est revenu sur l’adresse à la nation du 03 avril dernier. Selon les progressistes, le président de la République s’est livré à la présentation d’un cortège de vœux pieux et n’a pas daigné traiter la question cruciale du train de vie dispendieux de l’Etat et des dérives anti-démocratiques. Ils ont estimé qu’«en brandissant fièrement les trois lois qui ont marqué pour lui ses dix ans de règne dévastateurs à tous points de vue, Me Wade cite la suppression de la peine de mort, la loi assimilant l’esclavage à un crime contre l’humanité qui vient d’être votée et la loi annoncée sur la parité intégrale». Les camarades de Moustapha Niasse sont d’avis que: «cette mémoire sélective n’empêche pas les Sénégalais de penser notamment à la loi Ezzan qui, tel un pendant du monument dit de la Renaissance, est l’exemple achevé d’une démocratie en errance qui encourage le crime et l’impunité. Au demeurant, les grèves répétées dans le secteur de la justice trahissent l’état anémique de notre démocratie».
Sur le plan économique et social, le bureau politique de l’AFP constate que «la satisfaction feinte du régime en place se heurte à l’opacité qui a entouré la construction des infrastructures, aux programmes spéciaux appliqués intempestivement à l’agriculture, à l’exécution partielle du plan jaxaay, aux conséquences des inondations, au dénuement des hôpitaux et au slogan tragique Barça ou Barsakh».
De l’avis des cadres de cette formation politique de l’opposition, «les Sénégalais de l’Extérieur ne sont guère mieux lotis, car, non seulement les tenants du pouvoir ne traitent pas les dossiers qui leur tiennent à cœur comme les allocations familiales, la réinsertion, mais ils se livrent à la manipulation, en créant le Conseil Supérieur des Sénégalais de l’Extérieur (C.S.S.E.) sur des bases claniques et politiciennes, au profit du parti des Wade».
Sur le plan économique et social, le bureau politique de l’AFP constate que «la satisfaction feinte du régime en place se heurte à l’opacité qui a entouré la construction des infrastructures, aux programmes spéciaux appliqués intempestivement à l’agriculture, à l’exécution partielle du plan jaxaay, aux conséquences des inondations, au dénuement des hôpitaux et au slogan tragique Barça ou Barsakh».
De l’avis des cadres de cette formation politique de l’opposition, «les Sénégalais de l’Extérieur ne sont guère mieux lotis, car, non seulement les tenants du pouvoir ne traitent pas les dossiers qui leur tiennent à cœur comme les allocations familiales, la réinsertion, mais ils se livrent à la manipulation, en créant le Conseil Supérieur des Sénégalais de l’Extérieur (C.S.S.E.) sur des bases claniques et politiciennes, au profit du parti des Wade».