Dans le cadre de leurs travaux sur les enjeux et les risques de la libéralisation du commerce des services TIC en Afrique de l’ouest, les participants ont évoqué des mesures d’accompagnement.
C’est dans cette optique qu’ils ont préconisé que l’entrée et le comportement des opérateurs sur le marché doivent être contrôlés par une autorité indépendante.
Dans sa présentation, le Professeur Gaye Daffé a indiqué que les conditions d’entrée et d’installation des opérateurs sur le marché font l’objet de dispositions spécifiques soumises à des régimes comme la licence, l’autorisation et la déclaration.
Aussi, les droits d’utilisation des radiofréquences et des numéros doivent être octroyés dans le cadre de procédures objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées, ont recommandé les participants selon lesquels, une fois sur le marché, les opérateurs doivent y trouver leur compte grâce à des conditions de concurrence idéale. A cette fin, ils auront besoin d’obtenir l’interconnexion aux réseaux opérés par les autres entreprises afin de pouvoir offrir leurs services au public.
En effet, les mesures garantissant les prestations de service universel sont très importantes dans un secteur libéralisé car tous les citoyens doivent avoir accès aux services de base de la téléphonie ainsi qu’aux autres moyens de communication.
A noter que ces recommandations ont été faites au cours de l’atelier qui se tient du 1er au 2 juillet 2010 à Dakar sous l’égide de l’Institut PANOS, Afrique de l’ouest en partenariat avec le centre de recherches économiques et sociales.
C’est dans cette optique qu’ils ont préconisé que l’entrée et le comportement des opérateurs sur le marché doivent être contrôlés par une autorité indépendante.
Dans sa présentation, le Professeur Gaye Daffé a indiqué que les conditions d’entrée et d’installation des opérateurs sur le marché font l’objet de dispositions spécifiques soumises à des régimes comme la licence, l’autorisation et la déclaration.
Aussi, les droits d’utilisation des radiofréquences et des numéros doivent être octroyés dans le cadre de procédures objectives, transparentes, non discriminatoires et proportionnées, ont recommandé les participants selon lesquels, une fois sur le marché, les opérateurs doivent y trouver leur compte grâce à des conditions de concurrence idéale. A cette fin, ils auront besoin d’obtenir l’interconnexion aux réseaux opérés par les autres entreprises afin de pouvoir offrir leurs services au public.
En effet, les mesures garantissant les prestations de service universel sont très importantes dans un secteur libéralisé car tous les citoyens doivent avoir accès aux services de base de la téléphonie ainsi qu’aux autres moyens de communication.
A noter que ces recommandations ont été faites au cours de l’atelier qui se tient du 1er au 2 juillet 2010 à Dakar sous l’égide de l’Institut PANOS, Afrique de l’ouest en partenariat avec le centre de recherches économiques et sociales.
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