Oumar Ndiaye a fait face au juge pour une affaire de meurtre. Ce dernier est accusé d’avoir tué son ami avec un tesson de bouteille, pour une banale histoire de partage d’argent. En effet, tout est parti d’une altercation entre les deux mécaniciens après qu’ils ont eu des problèmes dans le partage d’une somme amassée à la suite de la vente de ferraille.
Omar Ndiaye avait blessé avec un tesson de bouteille Pape Mor Coulibaly qui a succombé à ses blessures lors de son évacuation.
Ayant pris la fuite, le tueur a été arrêté quelques jours plus tard. Les investigations faites par les enquêteurs révèlent que c’est l’argent qui est à l’origine du drame. Après la vente de la ferraille que les deux avaient ramassée dans un chantier, Omar Ndiaye a refusé de remettre au défunt sa part. Ce qui a provoqué l’altercation funeste.
Estimant que les faits en l’espèce ne souffrent d’aucune contestation, le maître des poursuites a requis quinze (15) ans de travaux forcés. Pour sa part, l’avocat de la défense a plaidé l’application de la loi, essayant de démontrer que la préméditation n’est pas établie dans cette affaire. A son avis, la bataille a été provoquée par la victime. L’affaire est mise en délibéré au 2 janvier prochain.
Omar Ndiaye avait blessé avec un tesson de bouteille Pape Mor Coulibaly qui a succombé à ses blessures lors de son évacuation.
Ayant pris la fuite, le tueur a été arrêté quelques jours plus tard. Les investigations faites par les enquêteurs révèlent que c’est l’argent qui est à l’origine du drame. Après la vente de la ferraille que les deux avaient ramassée dans un chantier, Omar Ndiaye a refusé de remettre au défunt sa part. Ce qui a provoqué l’altercation funeste.
Estimant que les faits en l’espèce ne souffrent d’aucune contestation, le maître des poursuites a requis quinze (15) ans de travaux forcés. Pour sa part, l’avocat de la défense a plaidé l’application de la loi, essayant de démontrer que la préméditation n’est pas établie dans cette affaire. A son avis, la bataille a été provoquée par la victime. L’affaire est mise en délibéré au 2 janvier prochain.