
La police a une piste pour le meurtre du petit Serigne Fallou Diop, dont la dépouille a été découverte lundi dans un champ à proximité du quartier Gouy Mouride de Rufisque. Mais elle n'a peut-être rien à voir avec l'individu suspecté et pris à partie par les riverains. Lors de son face à face avec la presse ce mardi, le Directeur de la sécurité publique est revenu sur les circonstances qui ont conduit les populations à désigner cet individu comme le responsable de la mort du petit.
"Quand les gens ont découvert le corps de l'enfant dans un sachet, au niveau d'un jardin, proche d'un autre jardin où officie un aliène, une personne qui ne jouit pas de toutes ses facultés. Ses allées et venues ont fait naître un sentiment de suspicion dans l'esprit de la population locale. Ils se sont certainement dit que c'était lui le meurtrier. Ils se sont rués sur lui", a déclaré le Commissaire Diop.
Il explique ensuite pourquoi les limiers ont réagi avec force pour tirer cet homme des griffes des populations en colère. "Quand ils l'ont interpellé, sa vie était en danger. En tant que défenseur de l'ordre public, en tant que responsable de l protection des biens et des personnes, nous étions obligés d'utiliser la force pour l'extirper", déclare-t-il.
En ce qui concerne l'auteur du crime, le commissaire divisionnaire avoue l'existence de pistes, mais juge trop tôt le moment d'en parler. "Jusqu'au moment où je vous parle, nous avons des pistes, mais nous ne pouvons pas les dévoiler", dit-il.
"Quand les gens ont découvert le corps de l'enfant dans un sachet, au niveau d'un jardin, proche d'un autre jardin où officie un aliène, une personne qui ne jouit pas de toutes ses facultés. Ses allées et venues ont fait naître un sentiment de suspicion dans l'esprit de la population locale. Ils se sont certainement dit que c'était lui le meurtrier. Ils se sont rués sur lui", a déclaré le Commissaire Diop.
Il explique ensuite pourquoi les limiers ont réagi avec force pour tirer cet homme des griffes des populations en colère. "Quand ils l'ont interpellé, sa vie était en danger. En tant que défenseur de l'ordre public, en tant que responsable de l protection des biens et des personnes, nous étions obligés d'utiliser la force pour l'extirper", déclare-t-il.
En ce qui concerne l'auteur du crime, le commissaire divisionnaire avoue l'existence de pistes, mais juge trop tôt le moment d'en parler. "Jusqu'au moment où je vous parle, nous avons des pistes, mais nous ne pouvons pas les dévoiler", dit-il.
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