Mais, pour la soeur de Zaida Catalan, beaucoup d'autres agents de l'État ont été cités dans ce dossier, ils devraient être au moins entendus et de veritables questions doivent leur être posées : « C'est un développement positif mais nous savons que l'ordre de tuer Zaida, Michael et leurs compagnons congolais est venu d'en haut. Donc, nous ne sommes pas très contents de voir que la justice militaire insiste toujours sur le fait que ces agents ont agi pour le compte des Kamuina Nsapu, qu'ils n'agissaient pas en tant qu'agents de l'Etat pendant le meurtre. »
« Nous espérons, poursuit la soeur de Zaida Catalan, que la justice continue son travail, qu'elle ne s'arrête pas à établir la responsabilité de Jean Bosco Mukanda ou des agents, Mambweni, Nkashama et Tshibuabua. Mais savons que tous ces gens étaient en contact avec leurs supérieurs comme les directeurs provinciaux de l'ANR et de la DGM. Les fadettes nous montrent bien que l'ancien chef de milice Jean Bosco Mukanda était en contact constant avec des militaires comme le major Mbwara. Donc on sait qu'il y a d'autres suspects potentiels. On souhaiterait que tous les personnes des services de sécurité, de l'armée qui étaient en contact avec eux soient sérieusement interrogés et amenés devant la cour. »
« Nous espérons, poursuit la soeur de Zaida Catalan, que la justice continue son travail, qu'elle ne s'arrête pas à établir la responsabilité de Jean Bosco Mukanda ou des agents, Mambweni, Nkashama et Tshibuabua. Mais savons que tous ces gens étaient en contact avec leurs supérieurs comme les directeurs provinciaux de l'ANR et de la DGM. Les fadettes nous montrent bien que l'ancien chef de milice Jean Bosco Mukanda était en contact constant avec des militaires comme le major Mbwara. Donc on sait qu'il y a d'autres suspects potentiels. On souhaiterait que tous les personnes des services de sécurité, de l'armée qui étaient en contact avec eux soient sérieusement interrogés et amenés devant la cour. »