Après avoir présenté ses condoléances et celles de la police aux familles victimes de meurtre d'enfants, le Commissionnaire divisionnaire Abdoulaye Diop a assuré ces dernières que les crimes commis contre leurs enfants ne resteront pas impunis. "Je voulais rassurer les Sénégalais que les délinquants, où qu'ils se trouvent, seront traqués, interpellés et mis à la disposition de la justice", a-t-il dit avant d'affirmer : "notre objectif est de mettre fin à ce phénomène qui hante le sommeil des Sénégalais".
Comment la police compte stopper le phénomène ?
Le Directeur de la sécurité publique a annoncé des mesures fortes prises par les autorités, en plus des dispositifs habituels, pour endiguer le phénomène et mettre un terme à ce qu'il a appelé "l'angoisse existentielle" qui a envahit les esprits des populations sénégalaises depuis l'enchaînement des crimes odieux contre les enfants. "Traditionnellement, il des mesures de sécurité qui sont prises dans les zones où la police est présente (zones urbaines et périurbaines). Au niveau des commissariats de police, il y a des brigades de recherches, des brigades anti-criminalités et des éléments de renseignement qui participent à la lutte contre le phénomène", a-t-il annoncé.
Il y a aussi, en amont, la "mise en pied d'une task-force depuis quelques jours. Cette task-force regroupe la sécurité publique, la Dépaf, la Dsp, la Direction de la police judiciaire, sous la responsabilité et le commandement de l'autorité supérieure (...) cette dernière n'a ménagé aucun effort pour mettre à notre disposition des moyens matériels et humains et des renforts en effectif. Les moyens matériels concernent beaucoup de véhicules mis à la disposition des services de polices".
Abdoulaye Diop a également indiqué que la police est en train d'établir des "passerelles de communication entre elle et la populations, pour anticiper sur certains faits délictuels".
La police mise beaucoup sur les Renseignements généraux
Pour mettre fin à l'insécurité, arrêter les criminels et anticiper sur les faits et gestes de ces derniers, la police nationale mise plus sur l'efficacité des Renseignements généraux que sur le nombre d'hommes en tenue.
"Au niveau de Dakar, où nous sommes. Au niveau de l'autoroute, au niveau de certains points sensibles, dans les zones criminogènes, vous avez constaté que la présence de la police est très visible. Mais je peux vous assurer que les hommes qui ne sont pas en tenus sont beaucoup plus nombreux que les hommes en tenue. Parce que les hommes en tenue exercent les missions de service urbain, mais les hommes qui ne sont pas en tenue exercent les missions de renseignements et les missions de police judiciaire. Ce qui explique qu'au Sénégal, s'il se passe une délinquance, on arrive à interpeller les fauteurs de trouble en l'espace de quelques jours seulement".
Comment la police compte stopper le phénomène ?
Le Directeur de la sécurité publique a annoncé des mesures fortes prises par les autorités, en plus des dispositifs habituels, pour endiguer le phénomène et mettre un terme à ce qu'il a appelé "l'angoisse existentielle" qui a envahit les esprits des populations sénégalaises depuis l'enchaînement des crimes odieux contre les enfants. "Traditionnellement, il des mesures de sécurité qui sont prises dans les zones où la police est présente (zones urbaines et périurbaines). Au niveau des commissariats de police, il y a des brigades de recherches, des brigades anti-criminalités et des éléments de renseignement qui participent à la lutte contre le phénomène", a-t-il annoncé.
Il y a aussi, en amont, la "mise en pied d'une task-force depuis quelques jours. Cette task-force regroupe la sécurité publique, la Dépaf, la Dsp, la Direction de la police judiciaire, sous la responsabilité et le commandement de l'autorité supérieure (...) cette dernière n'a ménagé aucun effort pour mettre à notre disposition des moyens matériels et humains et des renforts en effectif. Les moyens matériels concernent beaucoup de véhicules mis à la disposition des services de polices".
Abdoulaye Diop a également indiqué que la police est en train d'établir des "passerelles de communication entre elle et la populations, pour anticiper sur certains faits délictuels".
La police mise beaucoup sur les Renseignements généraux
Pour mettre fin à l'insécurité, arrêter les criminels et anticiper sur les faits et gestes de ces derniers, la police nationale mise plus sur l'efficacité des Renseignements généraux que sur le nombre d'hommes en tenue.
"Au niveau de Dakar, où nous sommes. Au niveau de l'autoroute, au niveau de certains points sensibles, dans les zones criminogènes, vous avez constaté que la présence de la police est très visible. Mais je peux vous assurer que les hommes qui ne sont pas en tenus sont beaucoup plus nombreux que les hommes en tenue. Parce que les hommes en tenue exercent les missions de service urbain, mais les hommes qui ne sont pas en tenue exercent les missions de renseignements et les missions de police judiciaire. Ce qui explique qu'au Sénégal, s'il se passe une délinquance, on arrive à interpeller les fauteurs de trouble en l'espace de quelques jours seulement".
La surveillance des frontières
Les autorités sénégalaises soupçonnent-elles une main extérieure dans la recrudescence des enlèvements et meurtres d'enfants ? le commissaire divisionnaire et Directeur de la Sécurité publique a annoncé le renforcement des dispositifs sécuritaires au niveau des frontières sénégalaises.
"En dehors de la sécurité intérieure, la sécurité extérieure, nous concerne au plus haut point.Au niveau des entrées et sorties des frontières, il y a eu des renforts conséquents et des points de communication qui ont été mis en place. Cela nous permettra de régler les problèmes qui se pose au niveau des zones périphériques et de bien veiller aux entrées et sorties. Bien vrai qu'avant ce phénomène, ce dispositif était mis en place dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Mais il est renforcé depuis quelques jours à cause des flux migratoires occasionnés par les rapports que nous avons avec les pays voisins", a annoncé le Commissaire divisionnaire Abdoulaye Diop.
"En dehors de la sécurité intérieure, la sécurité extérieure, nous concerne au plus haut point.Au niveau des entrées et sorties des frontières, il y a eu des renforts conséquents et des points de communication qui ont été mis en place. Cela nous permettra de régler les problèmes qui se pose au niveau des zones périphériques et de bien veiller aux entrées et sorties. Bien vrai qu'avant ce phénomène, ce dispositif était mis en place dans le cadre de la lutte anti-terroriste. Mais il est renforcé depuis quelques jours à cause des flux migratoires occasionnés par les rapports que nous avons avec les pays voisins", a annoncé le Commissaire divisionnaire Abdoulaye Diop.
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