Au centre de la question touchant la migration se trouve le journaliste. Les hommes de média, traitant les thèmes relatifs à la migration, doivent être outillés pour mieux aborder cette question. Un avis que partage largement Codou Loum, journaliste à Oxyjeunes FM et spécialiste de la migration, « nous apprécions cette formation qui vient à son heure. Nous sommes des journalistes, nous outiller sur cette question ne peut que faire du bien. Parce qu’on ne peut pas travailler sur une thématique que l’on ne maitrise pas. Parler de la migration c’est comprendre ses enjeux, les contextes sociaux culturels, économiques et économiques. C’est dit et connu par tous les acteurs, la migration on en parle que quand il y a drame. Donc finalement le formatage a fait que tout le monde n’évoque que les aspects négatifs. La migration n’est que négatif, il y a des aspects positifs. Et ça je pense qu’il serait intéressant que les journalistes le comprennent. Et que cela se ressente sur le traitement de l’information ».
Sur la question de la migration, il a été souligné par nombre de participants le rôle exact du journaliste. Car de l’avis général, le rôle des hommes de média ce n’est pas de décourager ou d’encourager la migration.
Le devoir du journaliste à ce propos est d’informer les populations et les potentiels migrants. « Nous ne pouvons pas interdire aux jeunes d’y aller mais qu’ils sachent ce qu’il y a comme risques et comme alternatives locales », a ajouté madame Loum.
Dans la même veine ajoute, Marieme Kobar Saleh, journaliste, « cette initiative, nous a permis entant que journaliste d’être formée sur les bonnes pratiques sur comment traiter la thématique de la migration sur la base de l’éthique et de la déontologie. Nous avons pu comprendre comment manipuler les chiffres et les données mais également le lexique et la terminologie qu’il faudra utiliser quand il s’agit de traiter le sujet ».
L’Ong italienne Cospe (coopération pour le développement des pays émergents) intervient beaucoup dans ce sens. Elle appui et outille beaucoup de journalistes sur les questions relatives à la migration. Khadim Mansour Faye est le coordinateur national du projet Informa au niveau du Sénégal. « Cette formation entre dans le cadre du projet Informa qui est un projet d’information et de communication sur la migration. C’est un projet qui contribue à la diffusion d’une narration de qualité sur la thématique de la migration. Sur ce, nous collaborons avec les médias, les journalistes mais également les organisations de la société civile. Et nous organisons différentes activités par rapport à cela et des formations de journalistes », a fait savoir monsieur Faye. Olivier Piot, journaliste et cofondateur de la plateforme média et démocratie est revenu sur les objectifs de cet atelier. « L’objectif c’était pendant trois jours avec onze (11) journalistes africains Sénégalais de les former comme formateurs sur la question des migrations. C’est-à –dire comment entant que journaliste on peut traiter le plus équitablement possible et le plus éclairant possible ces questions qui sont des questions très complexes puisque ça touche à la fois les différents peuples d’Afrique, leurs Etats et les peuples d’Europe leurs Etats», a confié monsieur Piot .
Au terme de cet atelier de trois jours, tous les participants ont dans l’ensemble souligné l’importance de cette formation. Qui, dans un cadre général, a permis aux journalistes d'être outillés sur la question de la migration.
Sur la question de la migration, il a été souligné par nombre de participants le rôle exact du journaliste. Car de l’avis général, le rôle des hommes de média ce n’est pas de décourager ou d’encourager la migration.
Le devoir du journaliste à ce propos est d’informer les populations et les potentiels migrants. « Nous ne pouvons pas interdire aux jeunes d’y aller mais qu’ils sachent ce qu’il y a comme risques et comme alternatives locales », a ajouté madame Loum.
Dans la même veine ajoute, Marieme Kobar Saleh, journaliste, « cette initiative, nous a permis entant que journaliste d’être formée sur les bonnes pratiques sur comment traiter la thématique de la migration sur la base de l’éthique et de la déontologie. Nous avons pu comprendre comment manipuler les chiffres et les données mais également le lexique et la terminologie qu’il faudra utiliser quand il s’agit de traiter le sujet ».
L’Ong italienne Cospe (coopération pour le développement des pays émergents) intervient beaucoup dans ce sens. Elle appui et outille beaucoup de journalistes sur les questions relatives à la migration. Khadim Mansour Faye est le coordinateur national du projet Informa au niveau du Sénégal. « Cette formation entre dans le cadre du projet Informa qui est un projet d’information et de communication sur la migration. C’est un projet qui contribue à la diffusion d’une narration de qualité sur la thématique de la migration. Sur ce, nous collaborons avec les médias, les journalistes mais également les organisations de la société civile. Et nous organisons différentes activités par rapport à cela et des formations de journalistes », a fait savoir monsieur Faye. Olivier Piot, journaliste et cofondateur de la plateforme média et démocratie est revenu sur les objectifs de cet atelier. « L’objectif c’était pendant trois jours avec onze (11) journalistes africains Sénégalais de les former comme formateurs sur la question des migrations. C’est-à –dire comment entant que journaliste on peut traiter le plus équitablement possible et le plus éclairant possible ces questions qui sont des questions très complexes puisque ça touche à la fois les différents peuples d’Afrique, leurs Etats et les peuples d’Europe leurs Etats», a confié monsieur Piot .
Au terme de cet atelier de trois jours, tous les participants ont dans l’ensemble souligné l’importance de cette formation. Qui, dans un cadre général, a permis aux journalistes d'être outillés sur la question de la migration.