Des centaines de bougies allumées, brandies une à une haut vers le ciel pluvieux, devant l’Accra Sport Stadium dans la capitale du Ghana. La foule, elle, scande en chœur le nom des 53 manifestants arrêtés.
Parmi eux, Ezekiel Adi, étudiant à Accra. « Nous continuerons de manifester tant qu’ils ne libèrent pas nos amis. Ce ne sont pas des criminels. Les vrais criminels sont ceux qui polluent nos rivières, ce sont eux qui doivent être arrêtés ! »
Devant eux, un écran géant diffuse les images de rivières couleur ocre, polluée par le Galamsey, l'exploitation illégale de l'or. Un sujet maintenant au-devant de la scène selon Jo Johnes, Ghanéen d’une vingtaine d’années. « Si l’on ne fait rien, nos enfants vont souffrir. Ici, au moins, on voit des gens qui n’approuvent pas cette absurdité. Le mouvement grandit doucement, et je crois que justice sera rendue, si ce n’est pas par le gouvernement, ça sera par le peuple. »
Parmi eux, Ezekiel Adi, étudiant à Accra. « Nous continuerons de manifester tant qu’ils ne libèrent pas nos amis. Ce ne sont pas des criminels. Les vrais criminels sont ceux qui polluent nos rivières, ce sont eux qui doivent être arrêtés ! »
Devant eux, un écran géant diffuse les images de rivières couleur ocre, polluée par le Galamsey, l'exploitation illégale de l'or. Un sujet maintenant au-devant de la scène selon Jo Johnes, Ghanéen d’une vingtaine d’années. « Si l’on ne fait rien, nos enfants vont souffrir. Ici, au moins, on voit des gens qui n’approuvent pas cette absurdité. Le mouvement grandit doucement, et je crois que justice sera rendue, si ce n’est pas par le gouvernement, ça sera par le peuple. »