Ibrahima Gueye, Secrétaire général du ministère des mines et de la géologie a indiqué que l’exploitation artisanale continue de générer chaque jour davantage d’impacts négatifs. Il précise que malgré tous ces efforts soutenus, les résultats enregistrés jusqu’à présent demeurent fort mitigés. D’où la nécessité urgente, selon lui, de changer fondamentalement de paradigmes et de s’engager résolument vers des mesures innovantes et efficaces.
M. Gueye a rappelé que ce secteur a connu d’importantes mutations, en ce sens qu'il est passé de l’utilisation de techniques manuelles et d’équipements rudimentaires a une exploitation mécanisée avec le recours à des procédés de traitement de l’industrie minière.
« Il faut reconnaitre que dans beaucoup de pays du continuant africain, les diagnostique établis révèlent des pratique néfastes et fort déplorables tels que la déforestation, la pollution des eaux et des sols, l’utilisation des produit chimiques jugés dangereux pour la santé, l’insécurité, la dégradation des meurs, circulation de la drogue et des armes, le travail des enfants, etc. Cette situation, décrite sur l’exploitation artisanale avec son corollaire de conséquences désastreuses sur la santé de nos populations impactées, sur nos environnements et sur nos économies », explique-t-il.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « La thématique retenue, recoupe une de nos problèmes essentiels, « l’exploitation artisanale au niveau de l'Afrique de l'Ouest francophone ». Ce qui est une priorité au niveau de nos administrations ministères, pour voir comment nos états pourraient développer des politiques qui permettraient que nos exploitations artisanales, puissent avoir le maximum d'opportunité, et surtout de retombées sociaux économiques pour nos populations et pour nos acteurs au niveau local ».
Il précise que des « mesures urgentes et innovantes devront nécessairement se traduire par des actions concrètes et efficaces aptes à endiguer de façon durable les nombreux fléaux qui gangrènent les exploitations artisanales ». ll s’exprimait, au nom du ministre des mines et de la géologie, Aïssatou Sophie Gladima, lors de la session de formation du « Work Package 3 » sur la mine artisanale en Afrique de l’Ouest francophone » qui entre dans le cadre des activités du projet de « soutien panafricain au partenariat EuroGeoSurveys-Organisation des services géologiques d’Afrique (EGS-OAGS) » communément appelé PANAFGEO.
M. Gueye a rappelé que ce secteur a connu d’importantes mutations, en ce sens qu'il est passé de l’utilisation de techniques manuelles et d’équipements rudimentaires a une exploitation mécanisée avec le recours à des procédés de traitement de l’industrie minière.
« Il faut reconnaitre que dans beaucoup de pays du continuant africain, les diagnostique établis révèlent des pratique néfastes et fort déplorables tels que la déforestation, la pollution des eaux et des sols, l’utilisation des produit chimiques jugés dangereux pour la santé, l’insécurité, la dégradation des meurs, circulation de la drogue et des armes, le travail des enfants, etc. Cette situation, décrite sur l’exploitation artisanale avec son corollaire de conséquences désastreuses sur la santé de nos populations impactées, sur nos environnements et sur nos économies », explique-t-il.
Poursuivant ses propos, il ajoute : « La thématique retenue, recoupe une de nos problèmes essentiels, « l’exploitation artisanale au niveau de l'Afrique de l'Ouest francophone ». Ce qui est une priorité au niveau de nos administrations ministères, pour voir comment nos états pourraient développer des politiques qui permettraient que nos exploitations artisanales, puissent avoir le maximum d'opportunité, et surtout de retombées sociaux économiques pour nos populations et pour nos acteurs au niveau local ».
Il précise que des « mesures urgentes et innovantes devront nécessairement se traduire par des actions concrètes et efficaces aptes à endiguer de façon durable les nombreux fléaux qui gangrènent les exploitations artisanales ». ll s’exprimait, au nom du ministre des mines et de la géologie, Aïssatou Sophie Gladima, lors de la session de formation du « Work Package 3 » sur la mine artisanale en Afrique de l’Ouest francophone » qui entre dans le cadre des activités du projet de « soutien panafricain au partenariat EuroGeoSurveys-Organisation des services géologiques d’Afrique (EGS-OAGS) » communément appelé PANAFGEO.