Le Syndicat national des Agents de l'Administration du Commerce (SYNACOM) décharge sur le Ministre du Commerce. Il accuse Aminata Assome Diatta d’avoir fait dans le clientélisme politique sur la carrière des agents.
« C’est le moment de dire que nous avons beaucoup souffert de la gestion très mauvaise de ce département par le Ministre Aminata Assome Diatta. Elle a surtout privilégié les membres de son mouvement politique, des nominations qui étaient loin d’être objectives. Elle privilégie la camaraderie de promotion, l’amitié, des éléments purement subjectifs au point de sacrifier la carrière des agents que nous somme. Ce que nous ne pouvons pas accepter », tonne Adama Mohamed Mbaye du SYNACOM.
Poursuivant ses propos, il ajoute : «Le dernier acte, il s’agit d’une affectation d’agent au détriment des plus méritant. Il y en a qui étaient purement et simplement rétrogradé au stade régional en départementale. On parle de chef de division à agent. Aucune règle objective de gestion de la carrière des cadres que nous sommes. Pour l’instant, nous nous limitons à informer l’opinion nationale et internationale. Elle n’en n’est pas à sa première forfaiture. Quand il s’agira de poser d’autres actes, nous le ferons».
« C’est le moment de dire que nous avons beaucoup souffert de la gestion très mauvaise de ce département par le Ministre Aminata Assome Diatta. Elle a surtout privilégié les membres de son mouvement politique, des nominations qui étaient loin d’être objectives. Elle privilégie la camaraderie de promotion, l’amitié, des éléments purement subjectifs au point de sacrifier la carrière des agents que nous somme. Ce que nous ne pouvons pas accepter », tonne Adama Mohamed Mbaye du SYNACOM.
Poursuivant ses propos, il ajoute : «Le dernier acte, il s’agit d’une affectation d’agent au détriment des plus méritant. Il y en a qui étaient purement et simplement rétrogradé au stade régional en départementale. On parle de chef de division à agent. Aucune règle objective de gestion de la carrière des cadres que nous sommes. Pour l’instant, nous nous limitons à informer l’opinion nationale et internationale. Elle n’en n’est pas à sa première forfaiture. Quand il s’agira de poser d’autres actes, nous le ferons».