« Dans les cordes » (L’Équipe), « Dans la tourmente » (Le Parisien, Le Figaro), « Un patron de plus en plus fragilisé » (La Provence). Nasser Al-Khelaïfi est partout dans les médias français. Le président du Paris SG et de beIN Sports est sous le feu des projecteurs après sa mise en examen pour corruption active dans l’attribution des Mondiaux d’athlétisme de Doha au Qatar en 2017 par le juge Renaud van Ruymbeke.
Son avocat Me Szpiner a tenté de désamorcer l’affaire dans les colonnes de L’Équipe . « C’est étonnant qu’un juge français s’intéresse à une société qatarienne ayant versé de l’argent à une société sénégalaise dont le siège est basé à Monaco. M. Van Ryumbeke se fourvoie. Il y en a marre de traite de la sorte mon client, c’est du Nasser bashing », a-t-il lancé, martelant qu’« il n’y a pas d’affaire ».
Pas de démission au programme NAK se serait bien passé de cette mauvaise publicité, lui qui a déjà mis en examen pour l’affaire des « cadeaux » de Jérôme Valcke, l’ancien secrétaire de la FIFA, en 2017. Pour autant, malgré une lassitude non dissimulée auprès de son entourage proche, le patron parisien ne compte pas baisser les bras. Selon Le Parisien, pas question d’abandonner, il ne démissionnera pas de son poste de président du Paris SG.
« À Doha, ils ne sont pas inquiets, ils sont en soutien de Nasser à 1 000 % et pensent qu’il s’en sortira blanchi », explique un collaborateur du pouvoir qatarien dans les colonnes du journal. Ses liens étroits avec l’émir lui valent le bénéfice du doute et il n’a rien à craindre pour l’heure pour son poste, et ce, malgré les rumeurs naissantes d’un changement d’organigramme. Déjà au centre de l’attention avec les cas Kylian Mbappé et Neymar, le PSG, lui, se serait sans doute passé de cette nouvelle affaire...
Son avocat Me Szpiner a tenté de désamorcer l’affaire dans les colonnes de L’Équipe . « C’est étonnant qu’un juge français s’intéresse à une société qatarienne ayant versé de l’argent à une société sénégalaise dont le siège est basé à Monaco. M. Van Ryumbeke se fourvoie. Il y en a marre de traite de la sorte mon client, c’est du Nasser bashing », a-t-il lancé, martelant qu’« il n’y a pas d’affaire ».
Pas de démission au programme NAK se serait bien passé de cette mauvaise publicité, lui qui a déjà mis en examen pour l’affaire des « cadeaux » de Jérôme Valcke, l’ancien secrétaire de la FIFA, en 2017. Pour autant, malgré une lassitude non dissimulée auprès de son entourage proche, le patron parisien ne compte pas baisser les bras. Selon Le Parisien, pas question d’abandonner, il ne démissionnera pas de son poste de président du Paris SG.
« À Doha, ils ne sont pas inquiets, ils sont en soutien de Nasser à 1 000 % et pensent qu’il s’en sortira blanchi », explique un collaborateur du pouvoir qatarien dans les colonnes du journal. Ses liens étroits avec l’émir lui valent le bénéfice du doute et il n’a rien à craindre pour l’heure pour son poste, et ce, malgré les rumeurs naissantes d’un changement d’organigramme. Déjà au centre de l’attention avec les cas Kylian Mbappé et Neymar, le PSG, lui, se serait sans doute passé de cette nouvelle affaire...