Vendredi 3 juin dernier, des manifestations ont eu lieu simultanément devant les plantations de palmiers à huile et d'hévéas du groupe Socfin au Liberia, en Sierra Leone et au Cameroun. Au même moment, des dizaines de personnes ont perturbé l'assemblée générale des actionnaires du groupe Bolloré, à Puteaux en banlieue parisienne. Sur les deux continents le même mot d'ordre : fin de l'impunité et fin des expropriations. Les manifestants dénonçaient les conditions d'exploitation des plantations industrielles de la Socfin, la Société financière des caoutchoucs, dont le groupe Bolloré est le principal actionnaire.
Source: Rfi.fr
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