Depuis hier, la libération de la Française Clotilde Réiss qui était détenue par les autorités iraniennes fait beaucoup de bruit. A travers un communiqué, le Sénégal a affirmé avoir joué un rôle très important.
Invité à l’émission «Remue-ménage» de cette matinée dominicale, l’écrivain et ancien inspecteur de l’Enseignement qui trouve cette sortie gênante, ne croit pas que le rôle du Sénégal soit déterminant. «Moi ça me gène terriblement. Et jusqu’à preuve du contraire, je ne crois pas que l’intervention de Me Wade ait été déterminante dans la libération de cette gamine-là», a-t-il laissé entendre.
Pour lui, les autorités auraient dû garder le silence même si cela s’avérait. «Même si Me Wade avait réussi, cette «prouesse», il ne devrait pas étaler ça dans la place publique dans les moindres détails», a dit Mody Niang qui apprend, pour reprendre l’ancien Président, Senghor «qu’on ne fait pas la diplomatie sr la place publique».
«J’ai éprouvé une espèce de gène de gène», a-t-il réitéré, lui qui a écouté beaucoup de journaux français où on a expliqué les conditions de la libération de la jeune universitaire. «La demoiselle a été condamnée et la peine était finalement muée «en une amende de 230 000 euros. Si c’est sur cette base qu’elle aurait été libérée», a soutenu Mody Niang.
Invité à l’émission «Remue-ménage» de cette matinée dominicale, l’écrivain et ancien inspecteur de l’Enseignement qui trouve cette sortie gênante, ne croit pas que le rôle du Sénégal soit déterminant. «Moi ça me gène terriblement. Et jusqu’à preuve du contraire, je ne crois pas que l’intervention de Me Wade ait été déterminante dans la libération de cette gamine-là», a-t-il laissé entendre.
Pour lui, les autorités auraient dû garder le silence même si cela s’avérait. «Même si Me Wade avait réussi, cette «prouesse», il ne devrait pas étaler ça dans la place publique dans les moindres détails», a dit Mody Niang qui apprend, pour reprendre l’ancien Président, Senghor «qu’on ne fait pas la diplomatie sr la place publique».
«J’ai éprouvé une espèce de gène de gène», a-t-il réitéré, lui qui a écouté beaucoup de journaux français où on a expliqué les conditions de la libération de la jeune universitaire. «La demoiselle a été condamnée et la peine était finalement muée «en une amende de 230 000 euros. Si c’est sur cette base qu’elle aurait été libérée», a soutenu Mody Niang.