A quelques jours de la date de prononciation du Conseil Constitutionnel sur la validité ou non de la candidature d’Abdoulaye Wade, investi le 23 décembre dernier, la mouvance présidentielle ne semble pas redouter une décision en défaveur de son candidat. Même si l’opposition sénégalaise et une bonne partie des citoyens attendent une invalidation de la candidature du président sortant, le camp libéral semble néanmoins convaincu du contraire.
« Par rapport à nos convictions, à tout ce que nous avons entendu autour de cette question qui a fait l’objet de beaucoup de débats, nous n’y reviendront pas. Les spécialistes ont donné leur avis, l’opinion des sénégalais est formée, chacun a choisi son camp, ceux qui sont du camp du président de la République et qui l’ont investi récemment n’ont aucun doute sur la recevabilité de sa candidature », a tranché le président de l’Assemblée nationale Mamadou Seck qui ne s’attend « pas du tout » à ce que Wade soit disqualifié de la course électorale, même si admettant que « tout est possible ».
Le PDS qui se montre forclos sur ce sujet, et à qui beaucoup suggèrent dores et déjà de recourir à un pis-aller, n’entend pas en faire pour autant. « Nous n’avons pas du tout de plan B. Moi je n’ai jamais été dans ces types de combinaison et de calcul », s’est exclu le maire de la commune de Mbao, invité de l’émission « Grand jury » de la RFM ce dimanche.
Le Conseil Constitutionnel est très attendu sur cette lancinante question à partir du 27 janvier. Toutefois, la tension est redoutée car si du côté de la mouvance présidentielle, il n’est pas question de penser à une décision au dépens de leur candidat, l’opposition de son côté n’entend pas la possibilité d’une autre décision que celle de discréditer la candidature d’Abdoulaye Wade.
« Par rapport à nos convictions, à tout ce que nous avons entendu autour de cette question qui a fait l’objet de beaucoup de débats, nous n’y reviendront pas. Les spécialistes ont donné leur avis, l’opinion des sénégalais est formée, chacun a choisi son camp, ceux qui sont du camp du président de la République et qui l’ont investi récemment n’ont aucun doute sur la recevabilité de sa candidature », a tranché le président de l’Assemblée nationale Mamadou Seck qui ne s’attend « pas du tout » à ce que Wade soit disqualifié de la course électorale, même si admettant que « tout est possible ».
Le PDS qui se montre forclos sur ce sujet, et à qui beaucoup suggèrent dores et déjà de recourir à un pis-aller, n’entend pas en faire pour autant. « Nous n’avons pas du tout de plan B. Moi je n’ai jamais été dans ces types de combinaison et de calcul », s’est exclu le maire de la commune de Mbao, invité de l’émission « Grand jury » de la RFM ce dimanche.
Le Conseil Constitutionnel est très attendu sur cette lancinante question à partir du 27 janvier. Toutefois, la tension est redoutée car si du côté de la mouvance présidentielle, il n’est pas question de penser à une décision au dépens de leur candidat, l’opposition de son côté n’entend pas la possibilité d’une autre décision que celle de discréditer la candidature d’Abdoulaye Wade.