Federico Addiechi, Responsable du Développement Durable et de la Diverstité de la FIFA
« Nous avons assisté à une Coupe du Monde amicale et accueillante, avec des hôtes exemplaires dans chacune des villes hôtes. La publicité négative qu’a reçue cette Coupe du Monde avant de débuter, en particulier dans le domaine de la discrimination, a été complètement démentie. Et quand des problèmes ont été rencontrés, la FIFA et le Comité Organisateur Local ont pu intervenir. Les mécanismes que nous avions en mis en place nous ont permis de traiter ces problèmes de la meilleure manière possible. »
Geremi Njitap, ancien international camerounais et FIFA Legend
« Ceux qui ont connu ce genre de situation savent à quel point ça peut être difficile. On se pose des questions. ‘Pourquoi moi ?’ ‘Quel est le problème ?’ Je suis donc très heureux d’être ici pour parler de cette question. C’est un début, mais je constate qu’on en parle beaucoup plus aujourd’hui que par le passé. Les joueurs, les entraîneurs, la FIFA, les ONG se sont emparé de la question. Le football peut faire beaucoup pour le respect et l’unité. Tous ici, que ce soient les joueurs, les entraîneurs, les médias : nous devons tous agir ensemble pour condamner ce fléau qui mine le football. »
Piara Powar, Directeur du réseau FARE
« En termes généraux, je pense que nous pouvons tous voir qu’une Coupe du Monde est un environnement spécial et un rassemblement multinational. Si vous venez à un tournoi comme celui-ci avec des préjugés, en n’aimant pas les gens d’une certaine nationalité, alors vous êtes au mauvais endroit. Nous avons vu que le peuple russe a joué un rôle magnifique en faisant en sorte que les gens se sentent les bienvenus. »
Avec FIFA.com