La famille de Cheikh Mawlany a gain de cause. N’ayant jamais cessé de crier au « meurtre », à côté de la Ligue Sénégalaise de Défense des Droits de l’Homme (LSDH), elle peut exulter. L’enquête livre ses premiers résultats. Et la dite thèse de torture se confirme. En effet, deux (2) gardes pénitentiaires de Rebeuss viennent d’être mis aux arrêts. Ils sont identifiés comme les auteurs présumés de ces actes de tortures. Ils ont été arrêtés par la police. Ces mêmes forces de l’ordre que l’administration de la MAC avaient mis aux bancs des accusés car avait-elle dit Cheikh Mawlany Sané a été admis à Rebeuss dans un sale état.
Dans leurs investigations, les policiers ont constaté que le détenu à été extrait de sa cellule, menotté deux fois entre 02 heures et 03 heures du matin.
Pis, ils ont même découvert les traces laissées par les menottes sur les mains du défunt qui arrêté le 25 novembre 2013 est décédé une semaine après le 1er décembre dernier. Le Procureur de la République est saisi pour pouvoir faire l’autopsie qui livre de fracassantes révélations. Mais déjà, le certificat de genre établit par le Pr Gisèle Woto Gaye de l’hôpital Aristide Le Dantec révèle « une présence de multiples plaies contuses au niveau du dos, du cou et du cuir chevelu » en concluant que « Cheikh Mawlany Sané est mort à la suite d’une asphyxie mécanique par strangulation dans un contrôle de coups et blessures par objet contondant ».
Dans le cadre de cette affaire, mêmes les codétenus du défunt mis au banc des accusés, trois (3) d'entre eux ont été arrêtés en même temps que les gardes pénitentiaires, livre la presse du jour.
Dans leurs investigations, les policiers ont constaté que le détenu à été extrait de sa cellule, menotté deux fois entre 02 heures et 03 heures du matin.
Pis, ils ont même découvert les traces laissées par les menottes sur les mains du défunt qui arrêté le 25 novembre 2013 est décédé une semaine après le 1er décembre dernier. Le Procureur de la République est saisi pour pouvoir faire l’autopsie qui livre de fracassantes révélations. Mais déjà, le certificat de genre établit par le Pr Gisèle Woto Gaye de l’hôpital Aristide Le Dantec révèle « une présence de multiples plaies contuses au niveau du dos, du cou et du cuir chevelu » en concluant que « Cheikh Mawlany Sané est mort à la suite d’une asphyxie mécanique par strangulation dans un contrôle de coups et blessures par objet contondant ».
Dans le cadre de cette affaire, mêmes les codétenus du défunt mis au banc des accusés, trois (3) d'entre eux ont été arrêtés en même temps que les gardes pénitentiaires, livre la presse du jour.