Conformément aux réquisitions du parquet de Nanterre, la juge d'instruction a retenu pour quatre des cinq suspects âgés de 28 à 43 ans l'accusation de "vol avec violence ayant entraîné la mort" et non plus de "meurtre en bande organisée", la mise en examen initiale, a précisé la source judiciaire.
Un cinquième homme de 27 ans a été renvoyé pour "complicité".
L'ordonnance a été rendue le 13 avril mais l'un des accusés, le seul qui a été remis en liberté, a fait appel deux jours plus tard devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles, a indiqué la source judiciaire.
Plusieurs avocats du dossier n'ont pu être joints par l'AFP mardi et mercredi matin.
Le 2 juillet 2007, Brahim Deby avait été retrouvé asphyxié dans le parking de son immeuble à Courbevoie, près de Paris, le corps recouvert de poudre d'extincteur.
L'un des avocats de la famille du président tchadien, Me Joseph Cohen-Sabban, avait expliqué au début de l'enquête que selon lui, le "vol" était "le mobile premier de cette affaire" et que "le meurtre" avait "accompagné le vol".
Il avait précisé que "l'appartement (de la victime avait) été très méticuleusement fouillé" alors que Brahim Deby gardait à son domicile "des sommes assez significatives de cash, selon des témoins".
Connu des services de police français, entre autres pour des affaires de stupéfiants, Brahim Deby avait été condamné en juin 2006 à six mois de prison avec sursis pour "port d'arme" et "détention" de drogue par le tribunal correctionnel de Paris.
Les suspects de son agression avaient été arrêtés en novembre 2008, quatre d'entre d'eux en région parisienne, le cinquième en Roumanie.
Un cinquième homme de 27 ans a été renvoyé pour "complicité".
L'ordonnance a été rendue le 13 avril mais l'un des accusés, le seul qui a été remis en liberté, a fait appel deux jours plus tard devant la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Versailles, a indiqué la source judiciaire.
Plusieurs avocats du dossier n'ont pu être joints par l'AFP mardi et mercredi matin.
Le 2 juillet 2007, Brahim Deby avait été retrouvé asphyxié dans le parking de son immeuble à Courbevoie, près de Paris, le corps recouvert de poudre d'extincteur.
L'un des avocats de la famille du président tchadien, Me Joseph Cohen-Sabban, avait expliqué au début de l'enquête que selon lui, le "vol" était "le mobile premier de cette affaire" et que "le meurtre" avait "accompagné le vol".
Il avait précisé que "l'appartement (de la victime avait) été très méticuleusement fouillé" alors que Brahim Deby gardait à son domicile "des sommes assez significatives de cash, selon des témoins".
Connu des services de police français, entre autres pour des affaires de stupéfiants, Brahim Deby avait été condamné en juin 2006 à six mois de prison avec sursis pour "port d'arme" et "détention" de drogue par le tribunal correctionnel de Paris.
Les suspects de son agression avaient été arrêtés en novembre 2008, quatre d'entre d'eux en région parisienne, le cinquième en Roumanie.
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