Mouhamed El Diko, Président de la Plateforme de la jeunesse interpelle toutes les forces vives de la sous-région à faire de la situation au Mali leur combat. Dénonçant cette décision ‘’illégitime’’ des chefs d’Etat de la Communauté Economique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO), il soutient que quand l’injustice devient une loi, la révolution devient "un devoir patriotique". Qualifiant la décision de la CEDEAO de ‘’forfaiture’’, il dénonce que lors de ces sommes a Acra, il n’a pas été question de la transition, mais plutôt question de renouveler l’accord de départ qui lie la France au Mali qui prendra fin le 17 de ce mois janvier. Il l'a fait savoir mercredi, lors d'une conférence de presse conjointe avec le FRAPP, le Mouvement Y en a marre entre autres.
« Ce combat, imposé au Mali, interpelle toutes les forces vives de la sous-région. Quand l’injustice devient une loi, la révolution devient un devoir patriotique. Nous sommes la ce soir pour dénoncer cette décision illégitime des chefs d’Etat de la Communauté Économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) issue du sommet extraordinaire à Acra. Une décision qu’on qualifie de forfaiture. Parce que lors de ces sommets, il n’a pas été question de la transition. Il a été plutôt question de renouveler l’accord de départ qui lie la France au Mali. Et cet accord prendra fin le 17 de ce mois-ci », dénonce Mouhamed El Diko, Président de la Plateforme de la jeunesse.
Selon le Président de la Plateforme de la jeunesse, « la France va dégager au Mali, il n’y a pas d’autre alternative ».
Mieux annonce martèle-t-il, « après cette décision inavouée du peuple, d’Afrique en général, en particulier certains gouverneurs qui sont élus Président en Afrique et qui sont les gouverneurs de la France. Au Mali, on te traite de populiste, au Burkina Faso de révolutionnaire, et au Sénégal, on te traite de Salafiste. Au Mali, on te traite de populiste, au Burkina Faso de révolutionnaire, et au Sénégal, on te traite de Salafiste ».
M. Diko, d’avertir la CEDEAO : « Nous tenons à rappeler à la CEDEAO, des Présidents que quand tu sanctionnes tout un peuple, ça donnera naissance aux nouveaux lieutenants qui n’hésiteront pas de sacrifier leur vie pour la cause noble. Le Moment est venu pour la jeunesse africaine de dénoncer ce système oligarchique qu’imposent les colons en Afrique. La lutte ne fait que commencer ».
« Ce combat, imposé au Mali, interpelle toutes les forces vives de la sous-région. Quand l’injustice devient une loi, la révolution devient un devoir patriotique. Nous sommes la ce soir pour dénoncer cette décision illégitime des chefs d’Etat de la Communauté Économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) issue du sommet extraordinaire à Acra. Une décision qu’on qualifie de forfaiture. Parce que lors de ces sommets, il n’a pas été question de la transition. Il a été plutôt question de renouveler l’accord de départ qui lie la France au Mali. Et cet accord prendra fin le 17 de ce mois-ci », dénonce Mouhamed El Diko, Président de la Plateforme de la jeunesse.
Selon le Président de la Plateforme de la jeunesse, « la France va dégager au Mali, il n’y a pas d’autre alternative ».
Mieux annonce martèle-t-il, « après cette décision inavouée du peuple, d’Afrique en général, en particulier certains gouverneurs qui sont élus Président en Afrique et qui sont les gouverneurs de la France. Au Mali, on te traite de populiste, au Burkina Faso de révolutionnaire, et au Sénégal, on te traite de Salafiste. Au Mali, on te traite de populiste, au Burkina Faso de révolutionnaire, et au Sénégal, on te traite de Salafiste ».
M. Diko, d’avertir la CEDEAO : « Nous tenons à rappeler à la CEDEAO, des Présidents que quand tu sanctionnes tout un peuple, ça donnera naissance aux nouveaux lieutenants qui n’hésiteront pas de sacrifier leur vie pour la cause noble. Le Moment est venu pour la jeunesse africaine de dénoncer ce système oligarchique qu’imposent les colons en Afrique. La lutte ne fait que commencer ».