La désormais ex-patronne des femmes de l’alliance Jëf-Jëf a accusé les hommes de son parti d’avoir voulu l’humilier. «Ils voulaient m’humilier en tant qu’ancienne présidente du mouvement des femmes», a pointé Mously Diakhaté dans un entretien qu’elle a accordé à nos confrères de l’Observateur.
«Tous les problèmes que j’ai pu avoir dans le parti, c’est à cause des hommes», a-t-elle martelé.
Elle explique que les hommes de son parti ont amené les femmes de Kolda à voter une résolution lors du congrès ordinaire tenu à Tambacounda le 26 mars dernier.
«Ce sont les hommes qui ont écrit la motion demandant la suspension du mouvement des femmes et qui l’ont fait voter par des femmes», accuse-t-elle.
Or, selon la parlementaire, cette démarche est une erreur politique. Et elle a tenu à le dire à sa formation, selon ses propres dires. «C’est avec moi qu’ils avaient des problèmes et non avec le mouvement des femmes», a rappelé Mously Diakhaté qui a demandé à cette erreur ne se reproduise plus.
«En effet, ces hommes auraient du avoir le courage de m’exclure ou alors de me traduire devant le conseil de discipline s’il y a lieu. Mais ils ne devraient pas suspendre le mouvement des femmes », a-t-elle recadré.
«Tous les problèmes que j’ai pu avoir dans le parti, c’est à cause des hommes», a-t-elle martelé.
Elle explique que les hommes de son parti ont amené les femmes de Kolda à voter une résolution lors du congrès ordinaire tenu à Tambacounda le 26 mars dernier.
«Ce sont les hommes qui ont écrit la motion demandant la suspension du mouvement des femmes et qui l’ont fait voter par des femmes», accuse-t-elle.
Or, selon la parlementaire, cette démarche est une erreur politique. Et elle a tenu à le dire à sa formation, selon ses propres dires. «C’est avec moi qu’ils avaient des problèmes et non avec le mouvement des femmes», a rappelé Mously Diakhaté qui a demandé à cette erreur ne se reproduise plus.
«En effet, ces hommes auraient du avoir le courage de m’exclure ou alors de me traduire devant le conseil de discipline s’il y a lieu. Mais ils ne devraient pas suspendre le mouvement des femmes », a-t-elle recadré.
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