
Le président de l’Alliance démocratique pencoo, Moussa Tine, s’est dit « préoccupé » » par le niveau inédit de la transhumance noté dans la politique au Sénégal, alors que l’option de moraliser la vie publique reste un engagement partagé par tous les acteurs.
Moussa Tine regrette le fait que « l’opinion ne poursuive et ne retienne que la culpabilité du transhumant », or, explique-t-il, « si ce n’est que le simple appât du gain, personnes ne peut imaginer la pression ou le chantage que ces personnes ont du subir ».
« Aujourd’hui, le phénomène de la corruption est toujours l’œuvre du pouvoir. Qu’il n’en voudrait pas, il n’aurait plus lieu. Le corrupteur est au tant coupable que le corrompu », dit-il avant de rappeler qu’ « en 2001, notre pays a fait de la lutte contre la corruption et la transhumance un pilier de la moralisation de la vie politique ».
Moussa Tine regrette le fait que « l’opinion ne poursuive et ne retienne que la culpabilité du transhumant », or, explique-t-il, « si ce n’est que le simple appât du gain, personnes ne peut imaginer la pression ou le chantage que ces personnes ont du subir ».
« Aujourd’hui, le phénomène de la corruption est toujours l’œuvre du pouvoir. Qu’il n’en voudrait pas, il n’aurait plus lieu. Le corrupteur est au tant coupable que le corrompu », dit-il avant de rappeler qu’ « en 2001, notre pays a fait de la lutte contre la corruption et la transhumance un pilier de la moralisation de la vie politique ».
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