« Les conditions de rentabilité commencent à se tenir. Il y a aussi la dimension du politique. Le fait que le président soit allé lui-même avec une bonne partie de son gouvernement crée un environnement de confiance. L’investissement, c’est la confiance. Dés l’instant qu’on réunit un certain nombre de conditions qui sont favorables, on trouve les capitaux pour y répondre. Mais, il faut aussi préciser que ce ne sont pas des engagements définitifs, nous avons là, des intentions très fortes d’investir sur le projet. Maintenant, c’est au gouvernement de se mettre au travail, de reficeler les projets qui peuvent intéresser retravailler davantage et de continuer à se battre», affirme le professeur.
Avant de mettre en exergue « la déclaration de la Banque Mondiale qui dit qu’il faudra améliorer l’environnement des affaires. C'est-à-dire que l’Etat puisse également accompagner cela par un Etat de droit ». «Les investissements s’engagent à vous accompagner, sur la base d’un schéma non encore si bien défraîchi. Mais s’ils arrivent à déceler des lacunes et des insuffisances dans notre pays, ils ne viendront pas. Ils chercheront ailleurs », dans un entretien accordé au journal "l'observateur".
Avant de mettre en exergue « la déclaration de la Banque Mondiale qui dit qu’il faudra améliorer l’environnement des affaires. C'est-à-dire que l’Etat puisse également accompagner cela par un Etat de droit ». «Les investissements s’engagent à vous accompagner, sur la base d’un schéma non encore si bien défraîchi. Mais s’ils arrivent à déceler des lacunes et des insuffisances dans notre pays, ils ne viendront pas. Ils chercheront ailleurs », dans un entretien accordé au journal "l'observateur".